Un travail de cochonne



J'ai le plaisir de Vous retrouver ce soir. L'horaire est un peu plus tardif qu'à l'accoutumée et ma patience est éprouvée par cette longue journée qui la précède. Mon esprit est déjà auprès de Vous depuis le petit matin. Mon corps n'a qu'une hâte : le rejoindre.


Vous m'avez convoquée à la suite d'une transformation en petite cochonne. J'avais eu le malheur de salir l'Antre Blanche et il allait bien falloir revenir nettoyer ! Vous faites ainsi d'une pierre, deux coups : apprendre à votre soumise à être propre par des travaux pratiques de récurage, de nettoyage, d'époussetage de votre donjon.


Vous m'habillez pour cette occasion. Un petit jupon, un costume de soubrette et un collier de servitude sont tout indiqués pour les tâches à effectuer. Cet uniforme un peu ample me plaît. Vous le complétez d'un peu de rouge à lèvres et de fard que vous me tamponnez sur les joues et les paupières. Une perruque blonde termine ma transformation en petite cochonne. Car c'est ainsi que Vous m'avez appelée cette fois-ci.

Si les tâches de ménage à effectuer sont relativement simples à comprendre, leur exécution doit être réalisée à la perfection et de manière efficace. Elles seront chronométrées et Maîtresse viendra bien vérifier le résultat. S'il est satisfaisant, Julia la cochonne sera récompensée. Dans le cas inverse, elle sera punie. Je grogne pour confirmer ma bonne compréhension des règles que Vous avez fixé.


Je me munis de l'aspirateur pour dépoussiérer l'Antre Blanche. Je me concentre pour effectuer le meilleur nettoyage possible et... je ne regarde pas le temps qui file. Vous montrez quelques signes d'impatience et m'ordonnez de me présenter à vous, à quatre pattes avant que l'inspection commence. "Es-tu satisfaite de toi, Cochonne ?" me demandez vous. Je grogne une fois pour l'affirmer. "Bien. On va vérifier. Suis moi ." Vous ne faites que quelques pas et remarquez tout de suite les cendres de papier d'arménie qui gisent encore sur le tapis. "Et ça ? Qu'est ce que c'est ? Ouvre la bouche ! Tout ce que tu n'as pas aspiré tu l'avaleras. Et la prochaine fois ce sera directement en léchant le sol".

L'inspection se poursuit et je continue d'avaler les petites poussières restantes. Vous retournez vous asseoir. Je vous suis, le plus proche possible de vos pieds et attends sagement la sentence. Est-ce du bon travail qui donnera lieu à une récompense ? Vous me posez la question. Cela m'ennuie. Je ne sais pas quoi répondre. J'opte pour un oui.

"Mouais. C'est pas trop mal pour l'exécution. Mais il va falloir être plus efficace. C'est trop long pour encore trouver des poussières. Mais je vais quand même te récompenser pour t'encourager. Mets toi à quatre pattes". Je vous regarde alors enfiler un gant noir qui remonte au-delà de votre coude puis prendre un pot de vaseline. Je suis toute excitée. Maîtresse va venir me fouiller progressivement. Pour l'instant, Vous ne faites que me titiller et insérez de la vaseline. Cela me frustre et m'incite à être encore plus efficace et rapide pour la suite.


Et la suite c'est de nettoyer vos ustensiles dans la salle de bain. Cages de chasteté et gros godes qui ont servi dernièrement sur vos autres soumis. Je frotte énergiquement en retirant ça et là quelques poils ou quelques cheveux. En me regardant dans la glace, je me trouve être une belle petite soubrette et m'imagine avec les ustensiles que j'ai en main. Cela me fait perdre du temps. Je reviens vers vous pour signifier la fin de ma tâche. Après contrôle, je gagne une nouvelle récompense. Cette fois-ci vous insérez votre doigt dans mon anus et commencez quelques va et vients excitants, cependant vite interrompus. Il reste encore du travail à faire, notamment retirer la cire tombée sur le plancher sous le bougeoir.


Munie d'un couteau je gratte le sol. Vous me fessez comme pour me donner un rythme. Je me concentre sur le temps et en oublie quelques parties. Vous décidez donc de resteindre ma protubérance en guise de punition en attachant un anneau à mes testicules avec une pince. "quand ça lâchera, ça fera mal, Cochonne", dites Vous avec un brin de sadisme dans la voix.

"Bon maintenant tu vas faire la vaisselle et stériliser mon sac à lavement."

Je m'exécute. Vous vous approchez de moi alors que je suis face à l'évier et reprenez les exercices de pénétration. Je me sens si vulnérable. Vous pourriez enfoncer toutes sortes de choses que je ne pourrais rien y faire. De retour à quatre pattes, vous me tendez ce doigt. "Lèche moi la main maintenant. Tu sais où il était enfoncé ce doigt  hein ?! " Je le suce le plus vigoureusement possible. Je suis votre petite cochonne et ça me plait.

L'humiliation se poursuit alors dans les toilettes. Vous enfoncez ma tête dans la cuvette que je dois nettoyer pendant plus d'une minute. La pénétration se poursuit. Je pense que vous n'enfoncez toujours qu'un seul doigt (mais ma déesse quand pourrais je donc accueillir plus ?).

Je suis un peu secouée et la lunette des toilettes tombe sur ma tête. Vous me retirez alors ma perruque et vous asseyez sur moi pour me pisser dessus. Votre urine me dégouline sur la tête jusque sur ma bouche et mes naseaux.

"Relève toi petite cochonne. tu vas maintenant te soulager sur la lunette puis tu nettoieras ce que tu as souillé avec ta langue. Tu as 30 secondes." Excitée comme jamais et heureuse de mon traitement je m'empresse de déverser mon jus puis de le lécher goulument.


Vous me rappelez alors auprès de vous. Je me suis nettoyée pour ne pas salir votre donjon. Vous me montrer votre pied. Je le lèche et m'attarde à sucer chaque orteil. Je sais que vous aimez ça et que ma bouche de petite suceuse fait des bons massages.

"Tu es quand même une bonne petite lécheuse Julia. Tu vas remonter dans l'échelle animale et tu as gagné le droit de redevenir ma petite chienne."

Je suis heureuse. Vous me caressez la tête et semblez satisfaite de moi.

J'espère au fond de moi pouvoir m'ouvrir toujours plus. J'espère devenir un trou pour vous. Ou un bon toutrou si vous me permettez ce pauvre jeu de mots.

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