A la niche !



Me voici encagée pour la première fois. Ce n'est pas d'une cage de chasteté dont il est question mais bien d'une cage. Je suis prisonnière, enfermée entre plusieurs planches de bois et une grille de metal. 


Maîtresse Blanche m'a attachée les 2 mains, bandée les yeux, accrochée une laisse à mon collier et m'a entraînée violemment dans ce qui pourrait aisément être défini comme ma niche. Une niche sombre et exiguë. Une niche dans laquelle on ne voit rien. Je devine simplement une petite couverture qui gît par terre. 


La porte se referme derrière moi. Quelques bruits évocateurs me rappellent l'isolement de la cellule. Des clics, des clacs, des bruits de verrous, de métal. L'enfermement à double, triple voire quadruple tour. Puis le silence. Un silence long, un silence pesant brisé uniquement par le bruit des pas de Maîtresse Blanche. Elle s'affaire à quelque chose. Je suis on ne peut plus attentive pour tenter d'anticiper ce qu'il se passera lorsque la cage sera ouverte. Je redoute et j'espère ce moment. Toujours ces deux sentiments contradictoires que j'ai appris à connaître au fur et à mesure de mon éducation. Avec le recul, j'aurai mieux fait de surtout redouter la suite... 

Maîtresse Blanche ouvre d'abord un petit soupirail pour m'observer puis ouvre le pan de bois qui recouvre la grille. Je suis toujours enfermée mais accessible pour ma Maîtresse. 

Une petite douleur très localisée sur le haut de la cuisse me le confirme. Une douleur électrique. Une douleur qui s'intensifie, une douleur qui se répand sur tout mon corps. Maîtresse Blanche joue de ma captivité. Je tente de fuir mais ne peux pas aller bien loin et ne peux qu'accepter mon sort. Je suis résignée à accepter cette douleur. Elle est forte et m'approche de ma limite. La porte se referme et je me retrouve dans le noir à patienter de nouveau, toujours dans ce même état, à redouter et espérer.

Un autre soupirail s'ouvre. Maîtresse y glisse la main pour me retirer mon bandeau. Je suis un peu éblouie. Je ne vois que ses yeux. Ses magnifiques yeux. Son regard évocateur. Celui d'une geolière qui se satisfait de déshumaniser sa petite chienne. Le soupirail se referme. Un troisième s'ouvre. Maîtresse y glisse mon écuelle remplie de ma récompense. Je lappe et m'abreuve de ce que je reconnais être son "champagne", que j'ai appris à aimer au fur et à mesure. Il est encore dur de boire directement à la fontaine mais je m'accroche. Je finirai par y arriver !

Mon écuelle finie et nettoyée, je replace comme je peux mon bandeau et adopte ma position d'attente.

Maîtresse Blanche aime marcher et ses pieds son fatigués. Heureusement pour Elle, ma bouche peut facilement remplacer une pierre ponce. Elle me présente ses pieds afin que je puisse m'adonner à lui nettoyer. Je prends mon temps pour faire le meilleur travail possible. Une petite chienne comme Julia se doit d'être irréprochable sur ce point maintenant qu'elle a un peu d'expérience.

Satisfaite de mon travail, Maîtresse me promet une récompense. Elle m'ôte mon bandeau et je me retrouve nez à nez, ou plutôt truffe à truffe avec un gode en métal, bien lubrifié. J'ouvre la bouche en grand pour mieux recevoir mon cadeau et imprimer quelques vas et vients évocateurs et excitants. J'adore sucer pour ma Maîtresse, être sa petite chienne au propre comme au figuré. Je sucerai tout ce qu'elle voudra, tout absolument tout. Même si ce tout a traîné dans des endroits peu recommandables. Je ne veux pas la décevoir sur ce point. 

En parlant de souplesse, Maîtresse m'ordonne de lui présenter mon arrière train afin de me violer dans ma cage. Maîtresse entre profondément en moi. Elle entre loin et fort. Je sais que plus cela va, plus je serai ouverte pour ma Maîtresse. Je couine de plaisir pour lui signifier ma satisfaction à ce sujet. Le plaisir de lui faire plaisir, le plaisir de s'offrir à Elle et de lui donner accès à mes parties les plus intimes afin qu'elle les possède.


La séance se termine. Maîtresse a besoin d'un urinoir humain et m'installe à cet effet. Après cette douche dorée, je suis pris aussi d'une envie irrésistible. Mais je ne parviens pas à ouvrir les vannes devant le regard mi amusé mi agacé de Maîtresse Blanche qui se joue de cette difficulté pour mieux m'humilier. Il faudra de l'entrainement pour que je puisse uriner comme une petite chienne et sur commande.

Maîtresse m'autorise à avoir recours au bruit de l'eau pour accélérer le processus. En contrepartie je devrai me faire pipi dessus. Après encore un peu d'attente, je finis par me soulager et m'asperge de mon propre jet jusque sur mon visage et ma bouche. Dégradation et humiliation garanties. 

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