Santé !

"Je n'ai pas de directives à donner pour notre prochaine séance car j'hésite entre plusieurs envies" m'avez vous écrit lors de nos derniers échanges. Comme d'habitude mon imaginaire se met en marche. Qui m'accueillera ? Doctoresse Blanche ? Nurse Blanche ? Maîtresse Blanche ?

Serais-je plaquée au sol ? Attachée à cette grande croix que j'observe à chacune de mes venues ? Ligotée à la table d'opération ? Apprêtée pour vous servir et vous vénérer ?

C'est Nurse Blanche qui m'ouvre les portes de l'Antre. Vous êtes lumineuse, tout de blanc vêtue. Je découvre pour la première fois un de vos splendides uniformes médicaux que vous avez complété d'une touche toute nouvelle : des bas blancs ainsi que de magnifiques bottes blanches qui vous vont à ravir et allongent considérablement vos belles jambes.

Je ne suis pas venue les mains vides. Outre mon offrande placée dans le fil de ma petite culotte comme le ferait une petite pute apportant le fruit de son labeur à son ou sa pimp, je vous présente le nouveau jouet que j'avais envie de vous offrir depuis quelques temps. Un système pour faire de vos soumis de véritables oeuvres d'art : un dispositif de succion pour agrandir les tétons et laisser de belles marques parfaitement rondes sur les corps.

Vous vous êtes empressée de le tester sur votre serviteur qui découvre la douleur associée au vide d'air. Mes petits poils sur mes tétons m'ont empêché d'en connaître plus (cet hiver peut être, lorsque le froid me permet plus facilement de cacher les quelques marques laissées par vos soins). Chaque petite capsule posée avale ma peau en la rougissant. Vous essayez différentes tailles, différents endroits.

Mais ce jouet n'est pas au menu du jour. Vous me mettez ce qui est désormais mon collier, un bel anneau de métal que je porte avec fierté et m'envoyez sur la table d'auscultation.

Je me mets à quatre pattes pour recevoir quelques fessées puis vous m'intimez de m'allonger sur le dos. "Je vais t'attacher Julia, pour ta sécurité. La procédure sera longue et douloureuse et tu ne dois pas bouger." Vous vous affairez et accentuez les contraintes. Ce faisant, vous êtes au plus près de moi. Je vous regarde avec confiance et admire votre beauté. Mon coeur bat et ma tumeur grossit.

Pour me frustrer, vous me cachez la vue avec une serviette puis insérez deux cotons dans ma bouche ainsi qu'une sorte de tige. Je vous entends vous éloigner. Le bruit de vos bottes claquent sur le sol. Pendant quelques minutes, je suis seule face à moi-même, ligotée et vulnérable, à la merci de tout.

Je vous entends revenir. "Chacun son champagne aujourd'hui Julia. J'ai un peu dilué le tient pour que tu en aies plus. Ta Maîtresse pense à toi!". Vous remplacez la tige par un tuyau que vous m'enfoncez au fond de la gorge et actionnez un mécanisme délivrant Votre champagne. J'en recrache violemment une partie, le tuyau étant parti un peu trop loin. Pour me punir vous me mettez des pinces sur mes tétons et vous saisissez d'une roulette de torture.

Vous me montrez tout votre dextérité avec cet engin, passant tantôt légèrement comme pour chatouiller quelques zones sensibles comme la plante des pieds, tantôt appuyant fortement sur les zones les plus "personnelles". Ma tumeur n'y échappe pas. Cela lui plaît d'ailleurs et vous le montre. Ce n'est donc pas tant une punition. Vous me retirez donc d'un coup sec les petites pinces qui pressaient mes tétons pour mieux les torturer. Je gigote d'inconfort et de douleur. Ce moment semble durer une éternité. D'autant que je suis toujours abreuvée de "champagne".

Satisfaite de mes gesticulations et de mes petits cris, vous poursuivez par une inspection anale et des exercices de dilatation. Vous enfilez des gants. Je le sais car je reconnais ce bruit caractéristique. Je suis toujours privée de la vue. (quel dommage, j'adore vous regarder dans ces instants). Le travail commence. Un doigt, puis deux et me voilà secouée. Les exercices de la fois passée sont encore visibles. Vous prenez alors un long plug que vous présentez à mon anus.

"Allez Julia. Empale toi comme une petite chienne." Je me remue et en imprimant un mouvement de gauche a droite avec mon bassin, je parviens à avaler ce petit god.

"C'est bien Julia. Tu sais de mieux en mieux t'y prendre. Tu vas finir par te faire enculer plus régulièrement !". Vous appuyez sur le plug de plus en plus fort et je me retrouve de nouveau secouée. Je ressens un plaisir intense. Pour l'accentuer, Vous vous saisissez de ma tumeur pour l'exciter et ainsi faire en sorte que ma petite tête associe bien ces deux plaisirs. Je deviens au fur et à mesure Julia, petite salope de Maîtresse Blanche.

Je secoue mes petites pattes. "Oh mais Julia. On dirait une petite otarie ! Comment elles font les otaries ?" Je tente de reproduire le cri de l'otarie. "Ah oui c'est ça. C'est bien. Tu es une petite otarie qui obéit à sa Maîtresse et qui fait des tours pour amuser le public". J'approuve en criant de nouveau.

Vous poursuivez l'excitation. Vous me rendez la vue. Votre visage montre un large sourire. Vous vous approchez de moi et me crachez dans la bouche pour m'hydrater (merci Maîtresse). Vous m'autorisez à jouir dans une petite coupelle. J'ai à peine le temps de vous prévenir que je répands ma souillure. "J'ai pas dit oui Julia ! Il faudra que tu finisse par apprendre à jouir uniquement sur commande." (Oui Maîtresse). Vous versez le contenu de la petite coupelle dans ma bouche (encore merci Maîtresse).

Puis vient le moment de la libération.

Maintenant que je suis une otarie nous procédons à quelques exercices et les répétons. Je tourne sur moi même, applaudit de mes petites pattes, et apprend à faire la belle comme si je maintenais un ballon sur le bout de mon nez. "Allez encore Julia. On répète bien tout ça jusqu'à ce que ça entre. Après tu auras le droit de lécher mes bottes." Vos si belles bottes ! Nous poursuivons les exercices en préparation de  notre prochain rendez-vous où je tenterai de vous faire honneur. Je dis bien tenterai car je n'ai pas été une otarie très convaincante à mon avis.

Nous finissons par un moment de dévotion. Je peux lécher vos bottes mais je ne peux pas les salir. Et vu ce que j'ai avalé, il me semble plus raisonnable de vous nettoyer le dessous et votre talon que je tente de suçotter comme un petit gode. Vous savez que j'aime ça.

Je repars de votre Antre avec un inconfort certain. Celui de ne plus être avec Vous (physiquement car je ne penserai ce soir là qu'à vous) et celui occasionné par les petits pois chiches bien durs que vous aviez laissés au fond de mes chaussures…



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