Reformatage


"Alors on est venue pour le programme de régression, Julia ?"

Je n'en savais rien. En même temps, vous êtes Maîtresse de nos échanges, et je ne découvre toujours qu’au dernier moment ce que Vous avez décidé. Je m'attendais à beaucoup de choses mais certainement pas à une prise en charge par Nurse Blanche. Une petite comptine se répétant en boucle pose le décors. Julia sera toute petite et Nurse s'occupera d'elle.

"On va d'abord te laver, passe dans la salle de bain". Je monte dans la baignoire, m'accroupis puis Vous m'aspergez d'une eau, plutôt froide. Il faut bien nettoyer Julia qui se retrouve enduite de savon, frottée de la tête aux pieds dans une ambiance plutôt robuste. Nurse regarde ma tumeur, l'ouvre pour bien la nettoyer, l'asperge d'eau froide et constate avec délectation qu'elle réduit. Après tout, ce programme de régression est un nouveau test pour dompter cette chose inutile qui résiste depuis tant de séances et ne désenfle pas.

Après m'avoir séchée vous m'ordonnez de grimper sur la table d'auscultation, nouvellement installée dans l'Antre Blanche. Je m'exécute. Vous vérifiez que la tumeur est restée dans un état réduit. "Oh Julia, ta tumeur est de nouveau enflée ! Il va falloir trouver une solution."

Vous vérifiez la tumeur, constatez que Julia s'est plugée (ce qui n'était peut être pas une bonne idée, puisque cela n'a finalement pas d'effet sur le volume de ma protubérance). Pour s'assurer que tout se passera comme prévu selon le programme, Vous me passez du liniment, un peu de talc, et voici que Vous me faites enfiler une couche. Ce n'est pas la première fois, mais vu le contexte, cette comptine infantilisante qui passe en boucle, je me sens toute petite et vulnérable. Une petite, cela doit surtout être nourrie pour s'assurer de sa bonne santé. Aussi préparez Vous un biberon de lait de croissance. Je regarde de loin, un peu inquiète (je n'ai plus bu de lait depuis toute petite, tellement je déteste ça). Vous me tendez ce premier biberon. Le goût est très sucré. je bois en Vous regardant et en vous témoignant du regard toute ma reconnaissance. 

Pendant ce temps, Vous avez décidé de dessiner quelque choses sur mon corps à l'aide d'une seringue (je ne saurais pas être plus précise, je n'ai pas trop su ce qu'il se passait pendant ce temps). deux piqûres sur mes testicules me rappellent que mon petit corps Vous appartient. Je couine un peu mais reste concentrée sur le moment où j'aurais enfin fini ce biberon de malheur.

Satisfaite d'avoir pu me dessiner deux os de petite chienne, Vous me nourrissez d'un petit pot de carottes. Miam. Je suis affublée d'un petit bavoir rose ridicule, pour éviter d'en mettre partout. mais rien n'y fait, malgré mes efforts, je suis bien obligée de constater que je ne suis pas capable de manger proprement. J'en ai même jusque dans les narines et les cheveux. J'en ai même renversé sur le tapis. Furieuse, vous m'envoyez au coin réfléchir à mes manquements alors que mon comportement Vous oblige à nettoyer mes tâches. Je suis honteuse et pendant que je suis au coin, je redoute la punition qui irrémédiablement viendra. "Viens sur mes genoux Julia". Vous me retirez ma couche pour dévoiler mon arrière train que Vous entreprenez de fesser pour bien imprégner la leçon. "Tu as bien réfléchis à ce que tu as fait Julia ?". Je me trompe dans ma réponse. Je voulais bien évidemment répondre que oui pour que cesse cette fessée humiliante. Mais je réponds par la négative. Vous vous saisissez alors d'un instrument pour accentuer la douleur et colorer encore davantage mes fesses.

Vous me renvoyez sur la table d'auscultation pour reprendre un biberon, cette fois-ci les pieds attachés, à votre merci. Ils ne pourront pas bouger pendant que vous tentez de les chatouiller. Mais julia est une petite chienne, une petite cochonne même qui salit partout. et ses petites pattes arrières sont bien insensibles. Vous vous saisissez alors d'une roulette avec des pics pour poursuivre la punition, en accentuant la pression. Chaque petite patte bouge et la douleur s'accentue à chaque passage. 

C'est alors que Vous vous apercevez que Julia pour régresser davantage doit être rasée. Elle est si poilue ! Après plusieurs passages, me voici avec une tumeur toute lisse. "Oh, ça va piquer et gratter ces prochains jours Julia " (c'est vrai). Je m'évertue pendant ce temps à finir ce deuxième biberon toujours aussi difficile à avaler. 

Après la tonte, et une fois le deuxième biberon fini, Vous vous inquiétez. Julia est-elle toujours ouverte de l'arrière train. Je me retrouve à quatre patte les fesses écartées. Vous poussez mon plug au fond de mon anus, sans pour autant y toucher davantage (je n'aurais pas dû le mettre, je n'ai pas pu être fouillée, j'avais pourtant regardé avec envie ces grands gants de cuir accrochés juste à côté) . Remettant ma couche, Vous m'en rajoutez une supplémentaire au cas où je serai incontinente et ne réussirait pas à conserver mes fluides. D'autant plus que c'est déjà l'heure du troisième biberon. Celui-ci est très difficile à finir. Je vous regarde me nourrir. Vous êtes magnifique, le regard sévère. Mais cela prend trop de temps. Pour accélérer une cadence qui n'est pas à votre goût, Vous me presser mes tétines, en espérant que j'activerai celle du biberon plus efficacement. Quelle douleur ! (certainement la plus intense infligée jusqu'à présent). Je me tords (littéralement) de douleur. Votre main, sûre, maintien le biberon dans ma bouche. Je suis à Votre entière merci. J'accélère les succions pour en finir avec ce maudit biberon, que je finis par vaincre au prix de douleurs intenses.

Vous vous installez sur une chaise, m'ordonnez de me placer à vos pieds. Vous déboutonnez le haut de votre blouse, découvrant votre sein. Ma tumeur se dresse dans mes couches. Si je veux pouvoir avoir la têtée il va falloir uriner dans la couche. C'est un ordre ! Mais un ordre difficile. Difficile de se laisser aller ainsi devant Vous, difficile d'uriner lorsqu'on est excitée, difficile avec ma tumeur bizarre qui n'aime pas être découverte ainsi. Même les menaces n'y font rien. Dans Votre immense bonté, Vous m'accordez un peu de temps et de liberté pour parvenir à vous obéir. Je finis enfin par répondre à cet ordre. " C'est quand même un peu dégoûtant ce que tu fais là Julia", me dites vous. Il est trop tard pour reculer : les vannes sont lâchées. Je me sens honteuse mais en même temps contente de pouvoir vous têter à l'issue de ma délivrance. Je suis encore plus contente car Vous m'autorisez à me toucher pendant cette tétée. Je prends Votre sein en bouche et commence à m'exciter comme une petite chienne/cochonne. "Mais attention Julia ! Je décide si tu peux te soulager". Je Vous fais signe que je suis prête. "Pas maintenant Julia". Je reprends mon activité". Quelques secondes se passe et ma tumeur est déjà prête. "pas encore Julia"...... Trop tard. Comme je me sens mal, je n'ai pas su répondre à votre ordre, une fois de plus.

L'éducation de Julia est loin d'être achevée. J'ai encore tant à apprendre.

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