Promenons nous dans les bois...🎶


Julia est de sortie. Maîtresse Blanche a décidé de l'emmener en promenade pour la première fois. Un chien, d'appartement ou de donjon, doit pouvoir goûter aux plaisirs de la Nature et des sorties en plein air. Je suis toute excitée en pensant à cet après-midi.

Arrivées à destination, nous nous trouvons un petit spot pour pic-niquer. Je reçois mon collier de servitude que j'accueille avec plaisir mais aussi avec une crainte certaine. Nous sommes en extérieur tout de même. Je déballe les quelques petites choses que j'ai apporté. Au menu : tomates cerises et radis, cake poire roquefort, dahl de lentilles, pitas et vin rouge. Il ne me manque qu'un petit tablier pour pouvoir vous servir. Je me mets à genoux pour vous présenter ces quelques condiments. Dans votre immense bonté, vous me tendez un radis ainsi que quelques bouts de cake que j'avale aussi sec.

Notre déjeuner est interrompu par des passants. Je grogne un peu pour signifier que c'est le territoire de Maîtresse Blanche. Quiconque s'en approchera passera d'abord par mon inspection. Pour me calmer vous me donnez un petit bâton pour chien à machouiller. Cela me nettoiera aussi un peu les dents après ce repas.

Pour clore ce moment, Vous me tendez une couche. Je passe cette protection qui en s'imbibant  immédiatement de ma sueur se met à gonfler. L'après-midi va être long car c'est à peu près sûr que cette gène ne fait que commencer. Nous nous changeons. Vous enfilez de jolis bas sexy, une veste noire, des escarpins, un foulard. Look BCBG, look d'une Maîtresse d'école au regard sévère, accentué par ses lunettes. De mon côté je suis un parfait petit écolier avec mes chaussettes hautes, mes souliers de cuir, mon short à bretelles, ma chemisette et mon sac à dos en forme de nounours. J'alterne entre honte d'être ainsi infantilisé et ridiculisé et fierté d'être aux côtés de ma Maîtresse.

Vous me prenez la main pour m'emmener sur un chemin. Je vous suis en vous regardant ou en fixant le sol. Vous me tirez l'oreille comme pour me punir. Je me sens tout petit. Je suis d'ailleurs tout petit à côté de vous, d'autant plus que je dois fléchir mes genoux.

Seuls quelques promeneurs viennent perturber ce moment. Que peuvent-ils penser en nous voyant ? Je ne m'en soucie pas trop. Mes pensées vous sont entièrement dédiées à ce moment. Je suis animée par la seule envie de vous satisfaire. Ce serait dommage que vous m'ayez emmenée en forêt et que vous ne passiez pas un bon moment par ma faute.

Nous nous enfonçons un peu plus dans les bois. Vous pincez alors ma petite mamelle pour me motiver davantage. Je peux enfin couiner de bonheur. C'est toujours douloureux mais j'aime cette douleur car elle s'installe pour plusieurs jours et il me suffit de toucher mon petit téton endolori pour me rapprocher de vous et revivre les moments passés ensemble.

Il est temps de passer aux choses sérieuses. Pour ce faire il faut trouver un endroit encore plus reculé, à l'abri des regards. Je suis impatiente. Je prends tout le paquetage, et me charge comme un mulet. Nous finissons par trouver une jolie clairière décorée au fond de laquelle nous nous installons. Vous vous changez de nouveau. Exit la tenue de Maîtresse d'école pour retrouver Maîtresse Blanche dans toute sa splendeur, toute de noir vêtue, comme une sombre exploratrice. Vous m'appelez. J'accours à quatre pattes. Il n'est pas très facile de se déplacer dans un amas de feuilles mortes. Enfin près de vous et à l'abri des regards, je me précipite pour lécher vos chaussures poussiéreuses pendant que vous me caressez la tête pour récompenser cette initiative. Vous me déshabillez,  me passez une cagoule en cuir en forme de tête de chien. Avec mon petit plug à fourrure en guise de queue, Je suis une Julia complète et comblée. Il ne manque que la laisse que vous attachez délicatement à mon collier. Je me retrouve à quatre pattes. Maîtresse Blanche tire sur la laisse tout en plaçant son divin pied sur mon dos. Elle semble vouloir continuer de violenter sa proie qu'elle a fini par dompter et sur laquelle elle pose fièrement, comme une chasseuse et son gibier. Je ne peux pas bouger, maintenue au sol de force, la laisse bien tendue. Mon sexe, ma tumeur comme vous l'appelez, est dressée comme jamais. Mon coeur s'emballe à l'idée d'être vue par des passants. Quelques fessées bien marquantes me rappellent que vous êtes à la manoeuvre et que mes pensées ne peuvent être dédiées qu'à vous, vos ordres et votre plaisir. Vous me replacez mon plug qui est sorti sous l'effet des coups. Je ne suis plus habituée à porter de si petits plugs du fait de mon entraînement. Un petit "Oh Julia !" me rend penaud, comme à chaque fois que je vous entend prononcer ces mots.

Puis nous montons sur un rocher pour poursuivre les prises de vues. Je tente de me montrer sous mon meilleur jour tel un chien de chasse à l'affût du moindre petit écureuil que je pourrais vous apporter en guise de cadeau. Dans ma tête cela fonctionne, j'ai l'impression d'être un fier épagneul breton ou setter irlandais. Je ne saurais dire si je suis tout simplement ridicule ou non.

Quoiqu'il en soit, tous ces efforts et le repas du midi vous ont donné envie de vous soulager sur votre petit soumis. Je m'allonge pour bien recevoir l'onde dorée de ma Maîtresse.Vous me placez un mouchoir sur la gueule qui au contact de votre urine chaude se plaque contre moi rendant ma respiration difficile. Deux choses déjà expérimentées que j'apprivoise progressivement. Mais là les deux en même temps ! Je peux vous dire que je suis fière d'y être parvenue.

Cette ultime épreuve sonne la fin de notre après midi. Je ne peux donc pas vous dire à quel point Julia était contente de sa promenade et qu'elle serait ravie de repartir en balade forte de cette nouvelle expérience.

Commentaires

Articles les plus consultés