Silence !?



Je viens d'arriver dans l'Antre Blanche. je me déshabille le plus vite possible pour essayer de profiter au maximum de la présence de Maîtresse Blanche. Je lui suis soumise depuis quelques mois et chaque nouvelle rencontre est une nouvelle expérience, une nouvelle découverte. Cette séance sera marquante pour moi à plusieurs titres. 
Je me positionne à quatre pattes, comme à l'accoutumée et signifie à Maîtresse que je suis prête en grattant la porte. je patiente ainsi pendant un temps qui  me semble interminable jusqu'à ce qu'enfin la porte s'ouvre. Maîtresse, cravache à la main, me fait signe de me positionner sur un petit coussin placé au centre de son donjon. Je fais la belle et la regarde. "Baisse les yeux !" me dit-elle sèchement. Je m'exécute immédiatement. Ces trois mots claquent et donne immédiatement le ton. Maîtresse tourne autour de sa proie, donnant ça et là quelques coups de cravache sur la plante de mes pieds, sur mes fesses. Quelques fessées viennent compléter ces petits coups que je suis bien incapable d'anticiper ayant les yeux rivés vers le sol. Elle m'attache avec un collier ainsi qu'un harnais puis m'enfile un masque recouvrant toute ma tête. J'ai encore la possibilité de voir... le sol. En revanche, il sera plus compliqué de respirer, ce masque terminant par un long tuyau que Maîtresse peut avoir à tout moment loisir de boucher, ce qu'Elle s'empresse de faire. L'angoisse de la situation accélère ma respiration immédiatement bloquée. Je n'ai que peu d'air et doit m'en contenter. 
Maîtresse déverse alors devant mes yeux toute une panoplie de menottes puis m'attache les pieds et les mains, en reliant le tout au harnais. Elle peut ainsi me déplacer à sa guise. Je ne bouge pas, les coups de cravache ne sont pas très nombreux mais claquent fort et dès que je respire plus fort pour encaisser la douleur, Maîtresse bloque mon accès à l'air libre. Elle travaille mes petits tétons. Je couine et commence à ressentir plus que de la douleur. Le cuir de mon masque se plaque contre mon visage à chaque inspiration. 
Puis Maîtresse me plaque contre le sol et m'ordonne de lui présenter mes fesses. C'est très dur, voire quasiment impossible de me mouvoir et de la satisfaire, mes deux bras attachés dans le dos et reliés à mes pieds. Heureusement je ne suis pas bien lourde et Maîtresse me place comme elle le souhaite. Elle retire mon plug, enfile des gants et commence à travailler mon anus sans un mot. Après de nouveaux va et vient, elle se lève et je la regarde se placer devant moi. Je ne peux voir que ses bottes en cuir et un harnais rouge autour de sa taille au bout duquel est positionné un gode. Elle retourne derrière moi et commence à me pénétrer. Je suis Sa petite chienne. je suis si heureuse de pouvoir enfin m'offrir à Elle. Maîtresse me secoue en donnant des coups de gode ceinture qui se font de plus en plus violents. Dans le même temps, Elle me fesse et me bloque la respiration. Je suis à Sa merci, toute ligotée et violée, la tête contre le sol. 
Après de longues minutes, Maîtresse jette une écuelle devant moi puis commence à titiller ma tumeur. Je suis encore plus excitée et donc encore plus privée d'air. Maîtresse me regarde au travers des hublots de mon masque. Quel regard pénétrant ! Quels yeux magnifiques ! Maîtresse semble sonder le fond de mon âme. Je ne peux rien lui cacher à ce moment précis. C'est comme un second viol. Je ne peux soutenir ce regard si intense et baisse régulièrement les yeux. Maîtresse poursuit l'excitation en serrant fort mes petits oeufs (de Pâques :) ). Rien n'y fait. Une fois de plus, je ne suis pas en mesure de me libérer au moment exigé par Maîtresse. Pourtant j'aime lécher ou boire ma semence comme la petite chienne que je suis. Je devrais donc rester chaste jusqu'à notre prochaine séance. 
Maîtresse me libère de mes liens, de mon masque et présente son gode ceinture à mes lèvres. Les mots sont inutiles. Je commence à sucer ce qui était inséré dans mes fesses quelques minutes plus tôt. Après quelques courts instants, Maîtresse se retire de ma bouche, puis m'adresse deux derniers mots : "Va-t-en !".
Je retourne dans le vestibule, me retourne une dernière fois pour lécher Ses bottes en guise de remerciement et quitte l'Antre Blanche, dépucelée, violée, violentée mais ravie.

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés