Une chienne dans un jeu de godes

Une fois n'est pas coutume, je suis convoqué à l'Antre Blanche en plein après midi. L'objectif de cette convocation : commencer le calendrier de l'Avent de Maîtresse Blanche.

Elle m'ouvre la porte et je la découvre tout de cuir vêtue. Ma tumeur se met immédiatement au garde à vous tandis que je lui présente mes hommages ainsi que deux petits présents : une cagoule d'isolation, promise depuis longtemps et une petite médaille canine gravée du nom de Julia et indiquant le nom de sa Maîtresse. Cela peut être utile pour retrouver Julia si elle se perd, la marque laissée par Maîtresse Blanche le mois précédent ayant commencé à s'effacer.

Maîtresse Blanche me détaille le menu du jour, à savoir commencer le ABCDeviances, chaque lettre étant inspirée d'une pratique BDSM, en  commençant bien évidemment par le A. A comme Anal training.

Maîtresse enfile de long gants noirs pour bien travailler sa petite chienne qui s'ouvre de plus en plus au fil des derniers mois. Je me mets à quatre pattes et écarte les jambes pour bien accueillir ma Maîtresse qui enfonce un doigt, puis deux puis amorce la dilatation de mon anus en imprimant des vas et vients qui ne me laissent jamais indifférente. Je coule encore comme une petite salope lubrique. Et encore plus lorsque Maîtresse fixe un gode au sol et m'ordonne de m'empaler toute seule comme une grande puis de me faire une auto-sodomie. J'en rêvais depuis longtemps ! J'aime quand vous me prenez, Maîtresse. Je suis heureuse aussi d'obéir si spontanément à des ordres bien humiliants comme celui-ci.

Après le A vient le B. B comme Ballbusting. J'ai été très vite initié à cette pratique mais toujours en douceur (je ne pense pas être capable de subir un fort coup et préfère de loin des coups modérés mais qui se prolongent dans le temps). Je me rappelle le 21 juin lorsqu'à l'occasion d'une soirée privée, un des convives avait indiqué que c'était une limite pour lui. Je m'en étais étonné : pourquoi ne pas offrir à sa Maîtresse le plaisir de martyriser ce que la société associe à la virilité masculine ? Cela me semble être la base !? Enfin bref, j'ai appris que des limites pour certains n'en sont pas vraiment pour d'autres...

Pour le B, Maîtresse me pose un harnais et un anal hook, reliant le tout à une petite laisse. Maîtresse Blanche tire sur la laisse et  Julia lui présente spontanément ses petits testicules. Pratique !

Pendant que Maîtresse prépare un humbler (ou carcan à couilles, dit vulgairement) Julia la lubrique se masturbe l'anus en bougeant son dos et son bassin pour enfoncer un peu plus le crochet anal.

Une fois le humbler installé, mes petites parties bien exposées, Maîtresse gifle mes petites, toutes petites boules en accentuant progressivement les coups et en serrant un peu plus le crochet. Ça tire et ça fait un peu mal. La douleur testiculaire est toujours étrange : dérangeante et plaisante à la fois. On est soulagé quand cela s'arrête et aussi quand cela recommence. On est fiers quand on entend les sensations que cela procure à sa Maîtresse et on veut lui donner toujours plus de plaisir, n'est ce pas ?

 

J'aimerai la remercier en fin de séance en lui léchant les pieds, ce qu'elle finit par m'autoriser à faire après une certaine insistance de ma part. Pas si facile cependant car son pied se dérobe et je dois rester vive pour réussir à lui lustrer ses bottes, d'autant plus que j'ai répandu ma semence dessus. On ne va quand même pas repartir de l'Antre Blanche sans avoir tout léché ! Maîtresse m'a dressé pour toujours bien nettoyer mes cochonneries et bien tout avaler.

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