Dépucelage d'une tumeur

Maîtresse Blanche a fait l'acquisition d'un kit de dilatation urétrale. Huit sondes de tailles progressives pour ouvrir ses petits soumis et les initier aux plaisirs interdits. Julia s'est tout de suite portée volontaire pour l'étrenner. J'avais déjà eu la chance d'être pénétrée par une petite sonde à boules lors de ma première consultation. Et je mourrais d'envie de rééditer cette expérience en l'accentuant davantage.

Doctoresse Blanche m'a donc conviée dans sa clinique vétérinaire pour tenter une nouvelle fois de faire désenfler ma petite tumeur qui coule, à l'aide de ses nouveaux ustensiles.

Je la regarde dans son bel uniforme de nurse militaire, coiffe médicale impeccable, enfiler des gants en latex et préparer ces petites tiges de métal qui vont venir m'explorer. La scène est excitante pour le fétichiste que je suis. Elle est aussi un peu angoissante vu la taille de certaines sondes. Je me demande encore comment ce petit bout peut se dilater à ce point.

Maîtresse Blanche me bande la tête en insistant pour laisser ma bouche bien ouverte. L'opération peut commencer. Une première sonde ouvre un premier passage. "Il va falloir débander Julia sinon les autres ne pourront jamais entrer". Je me concentre pour m'évader de la réalité et penser à tout un tas de choses qui ont pour effet de faire désenfler l'objet des tortures de ma Maîtresse. "C'est bien Julia !". Ce compliment détruit tout ce travail : je rebande. " Mais non Julia ! On va pas pouvoir continuer comme ça. Tu me déçois !". Ces 3 petits mots sont comme un déclic. La tumeur réduit instantanément. "Ah bah voilà !" Et Maîtresse de répéter ces 3 mots en boucle. "Tu me déçois, tu me déçois, tu me déçois..." Les larmes montent. Je suis au bord de craquer. Ma principale crainte est justement de décevoir ma Maîtresse. Ces mots font mal. Extrêmement mal. Plus que les sondes plus larges que Maîtresse m'insère par la suite. Ce n'est pas tant une douleur d'ailleurs, plus une gêne, un inconfort. Mais se faire violer par cet orifice est un moment à vivre et à revivre. On se sent si vulnérable. C'est un vrai lâcher prise.

Une fois bien dilatée, Maîtresse me présente une cage de chasteté avec sonde intégrée. Je blêmis un peu en la voyant. Le cadenas retors aura empêché d'en savoir plus. Une prochaine fois j'espère. 

Maîtresse Blanche finit d'achever la petite Julia en lui enfonçant le goulot d'une bouteille dans l'anus puis ses doigts et en tentant d'orienter mon jet de sperme en jouant sur ma prostate. Malheureusement, un pauvre jet tout pourri sort de ma tumeur sans vigueur et ne remplit pas l'objectif. "Oh non c'est nul. T'as même réussi à en mettre vers l'arrière ! eh bien tu vas tout bouffer pour la peine petite chienne! " Maîtresse ramasse ce pus dégoutant et me l'enfonce en pleine bouche. Charge à Julia de bien tout avaler pour faire plaisir à sa Maîtresse.




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