A la merci des nurses gynarchiques

Depuis le temps que je souhaitais être allongée sur une table médicale à la merci de deux doctoresses perverses et sadiques... Depuis presque toujours en fait. Ce jour d'octobre 2019 aura été un accomplissement. 

Depuis mon entrée dans le monde du BDSM, Maîtresse Blanche a pris soin de ne pas brûler les étapes et de me conditionner progressivement à l'état de petite chienne. Cette petite chienne dont elle a la charge, il est nécessaire de vérifier son état de santé régulièrement. Et un récent problème l'a obligée à solliciter un avis supplémentaire. Maîtresse Euryale s'est donc jointe à Maîtresse Blanche pour pouvoir affiner son diagnostic. 

Après une belle demi heure d'attente dans le garage, je sonne enfin à l'interphone et entre dans le cabinet médical. Je suis accueillie par deux doctoresses parfaitement apprêtées. Blouse blanche et coiffe médicale. Impressionné par la scène et honteux d'oser me présenter à elles suite à de récent écarts, mon regard fixe le sol. Je  présente mes hommages à ma Maîtresse qui m'ordonne immédiatement de lécher les pieds de Maîtresse Euryale. Je me rue à quatre pattes afin de répondre efficacement à cet ordre. Je lèche ses beaux escarpins vernis tandis qu'elles entament une discussion sur la suite à mener. Maîtresse Euryale reste immobile et aucun de mes efforts ne semble l'émouvoir. J'en suis encore plus excitée.

Maîtresse Blanche explique que Julia a été un peu trop zélée et qu'il est nécessaire d'identifier la source de ce trop plein de zèle avant de corriger ses écarts. Je bondis sur la table d'auscultation comme me l'ordonne Maîtresse. S'en suit une première vérification. D'où peut donc venir cet excès de zèle dont il faut impérativement se débarrasser ? Des oreilles de cette petite chienne ? De ses mamelles ? De sa malformation ? (Julia est une chienne atypique, sa queue est placée devant et non derrière comme les autres chiens). Les deux doctoresses s'affairent à trouver le problème en titillant Julia. Au vu du pu sortant de la malformation, il semblerait qu'il faille creuser plus précisément cette zone. Quelques gifles viennent même confirmer ce premier diagnostic.

Difficile d'être précis sur la suite de l'examen, Maîtresse Euryale me cachant la vue à l'aide d'une serviette qui m'aide cependant à mieux ressentir ce qui m'est infligé. Torture des seins (je reconnais facilement la touche de Maîtresse Blanche qui connait bien mes mamelles) : du zèle sort un peu mais aux dires de mes deux tortionnaires, Julia n'est pas complètement drainée. Et il faut vérifier en profondeur où extirper ce trop plein. Je sens quelque chose s'enfoncer dans mon fondement, en deux fois. Puis maintenue dans cet état, je subis une torture sur ma malformation qui achève de me réduire à l'état de petite chienne obéissante. Je crie comme jamais éprouvant pour la première fois la douleur infligée. Maîtresse Euryale me bâillonne à l'aide de sa main gantée pour me calmer un peu. En retirant ce qui, je pense, était un gode à boules, je lâche un râle de satisfaction. Ce n'était pourtant rien en termes d'émotions au vu de la suite qui m'est réservée.

Maîtresse Euryale insère progressivement sa main dans mon anus tandis que Maîtresse Blanche me remplit les yeux de collyre, en mode Orange mécanique (il ne manque que la neuvième symphonie de Beethoven en fond pour que ce clin d'oeil soit total). J'observe leurs regards. Si différents mais si hypnotisant. Je pourrais admirer ces deux doctoresses des heures durant. Les sublimes yeux vairons de Maîtresse Euryale rappelant le regard perçant d'une gorgone ou apaisant de Kaa. Le noir intense des magnifiques yeux de Maîtresse Blanche face auxquels je ne peux rien si ce n'est cligner compulsivement des yeux en guise de protection. Sauf que là j'en suis empéché par mes deux doctoresses qui s'intéressent aux effets du massage prostatique sur la dilatation de mes pupilles.

Je suis dans une position de vulnérabilité encore jamais expérimentée, mais de maintes fois fantasmée. Comme un lavage de cerveau, un formatage médical pour mieux façonner Julia. Après une dernière humiliation et aspergée du nectar de mes deux hôtesses, je suis renvoyée, vidée de mon zèle mais pleine de fabuleux souvenirs.



Commentaires

Articles les plus consultés