Seul le pénitent le passe



En entrant timidement chez Maîtresse Blanche, j'ai la tête un peu ailleurs. Elle me reproche très rapidement mon manque d'engouement. Je secoue un peu la tête pour mieux me concentrer et me rue sur ses magnifiques cuissardes que j'ai le privilège de pouvoir lécher. Je ne l'avais jamais vu les porter. Elles me faisaient tant baver que ce moment aura forcément été trop court tant j'aurais aimé montrer longuement tous mes talents de lustreuse de cuir.

Maîtresse m'interrompt dans mon élan et m'ordonne de m'allonger au sol pour subir ce qu'elle appelle un "moment d'attendrissement".

Ma mission : attendrir ma Maîtresse ? Euh.... pas tout à fait à vrai dire. Non, en fait ma mission est la suivante : subir les sévices de Maîtresse Blanche qui ont pour but d'attendrir mon cuir. Julia va encore être soumise à de nouvelles épreuves qui la renforceront encore plus, à condition, bien sûr de les surmonter.

 1re épreuve : l'épreuve du feu (enfin presque).

Pour attendrir et ramollir une chaire fraîche comme celle de Julia, rien de tel qu'un peu de chaleur. Un premier point chaud se dessine au moment ou je reçois une petite goutte qui me fait comprendre la torture au menu du jour : la cire. Maîtresse avait envie  de sculpter des formes sur mon corps. Un de mes petits tétons fait l'objet d'une attention soutenue jusqu'à complètement disparaître. Mon corps se tortille dans tous les sens. Je crie quelques lettres de l'alphabet en fonction de la douleur : Ah ! Oh ! Eh ! Je pourrais dire que je suis pétrifié de cire et de douleur mais mes tremblements à l'idée de ce que me réserve ma Maîtresse affirment le contraire. Je crains toujours la suite tout autant que je l'attends par curiosité. Mon appétit pour les jeux BDSM et ma soif d'apprendre se matérialisent ainsi sans doute.

 2e épreuve : le poids de la soumission (et ses plaisirs). Pour masser et attendrir un muscle, il faut exercer une pression dessus soit de manière longue, soit de manière furtive, en tout cas en la répétant autant de fois que nécessaire. Maîtresse pose un pied sur mon torse, puis deux et s'exerce a maintenir son équilibre sur sa petite chienne. Je garde mon souffle et raidit le peu d'abdominaux dont je dispose pour rester le plus immobile possible. Le trampling ! Je ne connaissais pas. Enfin je ne connais toujours pas puisque Maîtresse était pieds nus. Puis honneur ultime : un moment de facesitting. Ça non plus je ne connaissais pas. Et je peux dire que ce fut une sacrée découverte. M'imprégner à ce point de l'essence de Maîtresse Blanche tout en lui servant de fauteuil. Une expérience à vivre ! Après ça, on peut mourir tranquille comme dirait l'autre.

 3e épreuve : supporter la pluie

Face contre terre et à la merci de ma Maîtresse qui se saisit d'un instrument pour malaxer mes muscles et ma peau. Il semblerait que ce soit une sorte de fouet se finissant par une petite boule bien lourde. Maîtresse m'assène une pluie de coups de plus en plus intense sur tout mon corps. Je me mets de nouveau à réciter les quelques lettres que la cire m'a appris. La douleur est forte. Mes petites fesses peuvent en témoigner à l'heure où j'écris ces lignes.

 4e épreuve : ramollir le tout(ou).

Certainement mon épreuve favorite. Menottes serrées dans le dos. Jambes écartées. J'entends ma Maîtresse enfiler une ceinture, puis un gant. Maîtresse se plaque derrière moi, puis me pénètre en me disant "C'est bien Julia. On va bien m'attendrir de l'intérieur maintenant." Maîtresse commence alors des vas et viens avec son gode ceinture qui vont en s'accélérant. Ma tumeur coule (comme d'habitude). Je prends un plaisir gigantesque à être prise (c'est grave, Doctoresse ?). Sentir ma Maîtresse derrière moi et en moi alors que je suis menotté, face contre terre et les yeux bandés est une sensation unique, magnifique et qui se grave dans la mémoire. Je mesure cependant l'honneur qui m'est fait à ce moment et espère de nouveau le revivre régulièrement. 

 5e épreuve : un tendre nettoyage

Munie d'un couteau, Maîtresse Blanche s'affaire à nettoyer les petites croûtes étalées sur sa chienne. Julia était encore allée se fourrer n'importe où. Elle donne trop de travail à sa Maîtresse qui lui accorde cependant du temps pour retirer les petits amas de cire. Mon téton s'en souviendra longtemps. Lui qui est tout épilé désormais...

Une petite douche(dorée) plus tard, je retourne auprès de ma Maîtresse pour lui témoigner toute ma gratitude en léchant goulument ses pieds et suçant ses orteils. Ma position est vraiment enviable et jalousée par un grand nombre. Je profite donc d'être là, aux pieds de ma déesse dont je prends le plus grand soin. En plus elle a gardé son gode ceinture. Si je fais du bon travail, j'aurais peut être l'autorisation de venir le sucer comme une chienne....

"J'avais vu juste Julia, la première fois que nous nous sommes vues. Tu es vraiment une petite chienne."

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