Saucissonnage d'une chienne chaude

Accueillie par une Maîtresse Blanche tout de noir vêtue, je lui présente mes hommages alors qu'elle me tend la main pour une traditionnelle vénération. Mais sa main se dérobe et l'ordre claque comme son fouet : "Lèche mes bottes Julia". Je me précipite au sol aussi sec pour enduire ce cuir de ma bave. Maîtresse est magnifique. Elle porte un corset satiné, ses bottes, une magnifique parure et de fines boucles d'oreille qui viennent embellir son visage qui n'en a du reste nul besoin pour être resplendissant.

Ma petite tumeur qui goutte est déjà au garde à vous, prête à se montrer sous son meilleur jour. La vue de l'activité du jour semble lui faire plaisir. Maîtresse Blanche veut parfaire son art du Shibari sur sa petite chienne qui va découvrir le plaisir induit par le ligotage.

Privée de la vue, mes sens sont en éveil. Maîtresse s'affaire autour de moi pour me saucissonner. Elle passe devant moi, derrière moi, tire ses cordes comme une veuve noire envelopperai sa proie. Je la sens proche et je suis bien impressionné par cette proximité. Ma tumeur n'échappe pas à ses sévices et se retrouve enveloppée de liens bien serrés qui la maintiennent dans un état de contraction humide tant elle coule.

Je suis à genoux au centre de l'Antre Blanche, ligotée et attend patiemment ce que Maîtresse Blanche va faire une fois que je serai totalement immobilisée. Elle a profité de ces liens qui viennent contraindre mes muscles et ma peau pour exhiber mes petites mamelles. Maîtresse Blanche aime beaucoup les pincer, les tirer, les griffer en me rappelant qu'elles sont trop poilues à son goût. Je pourrais me les raser régulièrement comme je le fais pour ma tumeur mais je préfère laisser à ma Maîtresse le soin de le faire pour une future expérience médicale.

Tandis que la douleur occasionnée par ses tortures s'accentue, ma tumeur se dresse toujours plus. Ma tumeur adore les tortures des seins. Et elle le montre toujours. Maîtresse le sait. Elle me pince avec sa main droite et maintient la tension de ma tumeur avec sa main gauche en ponctuant certains de mes gémissements par quelques gifles.

Je pense qu'en temps normal, les choses se seraient poursuivies comme cela jusqu'à mon renvoi de l'Antre. Mais, période de fêtes oblige, Maîtresse me fait plusieurs cadeaux. J'ai le droit de choisir un de ses dessous que je pourrais garder fièrement et qui viendra compléter l'autel que je compte bien dédier à ma déesse. Je la remercie instantanément comme une gentille petite chienne en lui léchant ses bottes. Ce fut spontané, un vrai réflexe induit par mon dressage. :)

Maîtresse, pour récompenser cette initiative, m'autorise à vider ma tumeur sur ses bottes avant de les nettoyer. Mon abstinence actuelle aura eu pour conséquence directe un flot continu se répandant sur son cuir. Et Julia de lécher goulument son foutre pour tout bien nettoyer.