Ah la badine !

J'ai pris goût à porter des accessoires BDSM sur moi en me rendant au donjon de Maitresse Blanche. De temps à autre, c'est mon plug ou une cage de chasteté si ma Maîtresse me demande d'en porter une.

Cette fois ci je dois lui rapporter mon collier de servitude que je m'empresse de fixer à mon coup avant de me mettre en route. Regarder les gens dans les transports qui ignorent tout de ma condition et de mes attirails cachés me met en parfaite condition de petite chienne en chaleur. 

Et cette tension ne faiblit pas lorsque j'aperçois ma Maîtresse. Elle porte une très jolie robe blanche mise en valeur par ses bottes et ses longs gants de cuir. La suite m'apprendra à redouter cette tenue. Je présente mes hommages puis tend à Maîtresse Blanche une petite trouvaille de rien du tout mais qui s'avérera peut être utile pour de futures promenades en forêt. Je lui remets un petit plug reliée à une longue laisse. Un sourire de surprise se dessine sur son visage. Et l'ordre de m'enfoncer ce petit bout de métal au fond de mes fesses vient immédiatement comme une suite logique.

Maîtresse Blanche se saisit de la laisse et dirige mes petites fesses au centre de l'Antre Blanche pour m'asséner ma punition (cette petite cochonne de Julia a pris du plaisir a sucer une autre Maîtresse la semaine précédente. Et ce comportement doit naturellement être corrigé...). 

Je suis à quatre pattes. J'entend le bruit de ses pas. Elle tourne autour de moi comme une chasseresse qui cherche le meilleur angle d'attaque pour neutraliser sa proie en un éclair. Munie d'une espèce de canne souple, Elle applique quelques petits coups sur mes fesses, histoire de remettre les choses en place et me rappeler qu'elles Lui appartiennent et à Elle seule. Puis vient la première "claque", la première marque. Comme une golfeuse, Maîtresse Blanche vise précisément où elle me marquera, puis d'un mouvement sec, dessine une première ligne sur ma fesse droite. La douleur est très vive mais éphémère. Mon corps avance de lui même pour fuir la correction que je m'apprête à recevoir. Maîtresse a décidé de littéralement me fustiger le croupion à la badine. Les coups sont certes appuyés mais je sais que je suis encore loin d'avoir tout vu ou ressenti.

 Une fois mon derrière bien endolori et strié de marques, Maîtresse m'attache à sa table d'examen pour, je cite, "fourrer la petite dinde". Je suis ficelé comme un petit rôti et sens les doigts de Maîtresse écarter progressivement ma zone anale avant d'installer sa fucking machine. Je me retrouve pénétrée mécaniquement, fessée et torturée des têtons. Tout cela à la fois. La machine ne fait pas dans la dentelle. Elle entre et sort sans état d'âme. Maîtresse accélère plusieurs fois la cadence. 

Mes sens sont tout chamboulés. Est ce du plaisir ? Est-ce de la douleur ? Je ne sais pas trop. Ma tumeur, quant à elle, coule de manière continue, et me confirme que ce qui m'est infligé produit des sensations uniques.

 Maîtresse me libère, m'ordonne de me mettre à quatre pattes pour subir une deuxième série de flagellation. À chaque coup, je couine. De plus en plus fort. Je me surprend à me mordre le bras pour dévier cette douleur inconnue et sur laquelle je n'ai pas prise. Point de larmes pour autant. Maîtresse Blanche connait la faiblesse de mon expérience. J'ai bien compris que ces punitions n'étaient qu'une mise en bouche pour le futur. Je ferai certainement la connaissance d'instruments autrement plus mordants à l'avenir. 

Ma punition s'interrompt. Je souffle un peu. Maîtresse Blanche s'assoit, m'ordonne de me placer à ses pieds, m'attache les poignets puis me montre ses bottes. Je me penche pour les lui lêcher mais brutalement, un ordre précis vient m'interrompre. Je n'ai pas reçu l'autorisation de remercier ma Maîtresse. Je reste donc dans cette position, la tête à quelques centimètres de ses pieds, en attente. "Allez, lèche maintenant petite Julia". Ma tête plonge littéralement pour enduire ce cuir de toute ma bave et lustrer ses belles bottes en signe de gratitude et de remerciement pour mon dressage. J'aurais pu lécher des heures durant, si heureuse que je suis d'être aux pieds de Maîtresse Blanche, ma Maîtresse.

Un dernier exercice de soumission m'attend. Il n'était pas prévu que je puisse être libérée de ma toxicité masculine, mais la perspective de me voir la gueule aspergée de mon propre foutre que je nettoierai consciencieusement semble enchanter Maîtresse Blanche. Je me retrouve à imiter une petite gymnaste en faisant la chandelle tout en m'astiquant la tumeur. Le compte à rebours commence. Je suis censée faire tomber une pluie de sperme sur mon visage sur ordre de ma Maîtresse. Au décompte final je vise comme je peux et me répands tout ce jus immonde sur la face (et un peu sur un coussin). Maîtresse m'enfonce alors la tête dans ma salissure avec ordre de tout bien nettoyer puis renvoie sa petite Julia. 

Commentaires

Articles les plus consultés