Expérimentations

Je suis convoquée à la clinique de Maîtresse Blanche pour subir deux expériences. Je me dirige à l'heure dite pour pouvoir une nouvelle fois pénétrer dans l'Antre Blanche. Je suis toute impatiente de découvrir ce qui m'attend. Dans le même temps, je ne peux m'empêcher de réfléchir avec une inquiétude certaine à ce que ma Maîtresse me réserve. "vous me servirez de cobaye pour deux nouvelles pratiques que je suis en train de creuser" m'avait-elle dit. Cela peut signifier beaucoup de choses... Mais je ne suis animée que par une volonté : Lui faire plaisir et La satisfaire.

Maîtresse m'ouvre sa porte. Elle est une fois de plus resplendissante et je perds encore mes moyens en la voyant dans sa blouse blanche, sa jupe en cuir, et ses escarpins de couleur crème. Elle m'assène une belle gifle pour punir mon retard et m'emmène sur le lieu des opérations, baigné d'une lumière blanche et froide. Allongée à sa merci, je l'écoute sagement m'expliquer que la première expérimentation implique de saigner... N'en disant pas plus, elle part chercher ses outils. Je reste immobile à l'affût du moindre bruit qui me permettrait de deviner ce qui m'attend. C'est peine perdue. Tous ces sons ne trahissent rien mais mon cœur s'accélère à mesure que je l'entends s'approcher. Maîtresse me présente un petit récipient contenant deux petites choses allongées de couleur noire, deux petites choses mouvantes... je comprends vite de quoi il s'agit en me rappelant que cette pratique serait "saignante". Deux sangsues, toutes petites, mais qui semblent affamées depuis bien longtemps et qui sont prêtes, telles deux petits vampires à venir goûter au petit corps de Julia. Maîtresse saisit la première à l'aide d'une pince chirurgicale et la dépose sur mon ventre, tout en m'expliquant que chacune d'entre elle allait me sucer le sang pendant une demi-heure à une heure une fois qu'elle m'aurait mordue. La première s'accroche immédiatement en plantant ses trois petits crochets dans ma peau. La douleur n'est pas très forte. Elle va cependant aller en s'accentuant. La seconde s'installe de l'autre côté de mon nombril, à l'endroit prévu. Je ne bouge pas (je n'ai ni intérêt ni l'autorisation de toute façon). Je sens ces deux petites créatures se gorger de mon sang. Il est désormais trop tard pour reculer, il est nécessaire de laisser ces deux petites bêtes prendre leur repas jusqu'à ce qu'elles soient repues. 

Maîtresse s'attaque alors à la seconde pratique. Elle s'en va chercher un bol rempli d'eau et quelques compresses et m'ordonne de lever ma jambe droite et de la tenir avec ma main. Puis elle noue un grand tablier en plastique blanc par dessus sa blouse. Je suis toute excitée : ma protubérance est dressée comme jamais. "C'est sur ta tumeur que j'aurais dû placer une sangsue, Julia ! Cela l'aurait fait désenfler!" me dit-elle. Je blêmis à l'idée qu'elle joigne les actes à cette pensée machiavélique. Heureusement pour moi, Maîtresse prend quelques "compresses" qu'elle enduit d'eau et commence à me momifier. Je comprends que ce ne sont pas des compresses mais que je suis en train de me faire plâtrer, dans une position bien inconfortable. Je profite tout de même de la proximité avec Maîtresse, qui décide, bien malheureusement pour moi, de me priver de la vue en posant une serviette sur mon visage. Maîtresse est méthodique et fixe solidement ma patte avant droite avec ma jambe. Le plâtre se solidifie au fur et à mesure et je commence à sentir quelques fourmillements dans les doigts. "Il me reste encore de quoi m'occuper de ta tumeur, Julia. C'est le meilleur moyen pour l'empêcher de couler... définitivement." Elle me met alors plusieurs couches de plâtre et enduit ma protubérance en serrant de plus en plus fort. "Une fois qu'elle sera bien immobilisée, on va la violer, la petite Julia", s'exclame Maîtresse en voyant que je portais toujours mon plug qui ouvre mon anus depuis plusieurs semaines. "Ce n'est pas forcément malin de se laisser faire comme cela" dit-elle en enduisant son gant en latex de lubrifiant et en plongeant ses doigts dans mon fondement. Maîtresse me travaille et exerce quelques va et vient pour agrandir encore davantage le passage que je m'efforce de lui créer. Je ne sais pas encore où j'en suis. A-t-Elle glissé un doigt ? deux ? trois ? je n'en sais rien. Tout ce que je sais c'est que Maîtresse compte bien me fister un jour. 

Maîtresse se retire de mon anus et m'ordonne de me mettre à quatre pattes et de me déplacer dans son donjon. C'est difficile. Mes deux membres gauches sont solidement joints par une épaisse couche de plâtre. Je suis à n'en point douter ridicule, à me mouvoir maladroitement en essayant de suivre les pas de Maîtresse. En y regardant de plus près, les deux sangsues ont bien grandi et dessinent comme deux petites mamelles qui viennent parfaitement compléter la petite chienne que je suis. 

De retour sur le dos, une sangsue lâche prise. Le sang commence à couler (une sangsue injecte un anti-coagulant). La seconde est plus lente à se décrocher mais finit tout de même par lâcher. Maîtresse pose deux compresses sur mes plaies, les attache solidement avec du sparadrap et du scotch de peinture puis me libère de mes contraintes en plâtre. Je peux aller la remercier et lécher ses pieds. Je suis aux anges, j'adore honorer les pieds de ma Maîtresse. Elle m'ordonne de nettoyer la salle d'opérations puis me rend ma liberté. Je quitte l'Antre Blanche forte d'une nouvelle expérience en pensant déjà au moment où je la retrouverai, Elle, Maîtresse Blanche, qui m'accompagne dans la découverte du monde du BDSM, Elle que je vénère et à qui je dois beaucoup.



Commentaires

  1. Le lien est fait avec la vidéo de l'Only Fans faisant apparaitre les sangsues.

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