Le martyr inévitable d'une sissy bien dressée


C'est dans une GNC inhabituellement froide que je retrouve Maîtresse Blanche, tout juste revenue de voyage. Elle est encore un peu décalée et semble-t-il extenuée de son voyage. Quoi de mieux dans ce cas que d'avoir à sa disposition un petit soumis volontaire en manque de vénération et de contact rapproché avec ses divins pieds ?
J'enfile le zentai qu'elle me tend ainsi qu'une blouse de patient puis me place à genoux en position d'attente. "Tu peux lècher mes pieds Julia". Enfin l'autorisation attendue. Je commence par lustrer ses bottes salies par la pluie copieuse qui tombe depuis plusieurs jours. Je sais qu'un travail impeccable est attendu. Aussi, je m'applique du mieux que je peux afin de rendre le cuir propre et brillant.
Une fois ce travail accompli, j'ote délicatement ses bottes pour entreprendre la suite de ma tâche : délasser les pieds de ma Maîtresse. D'abord par un massage. Un pied après l'autre. Puis conformément aux directives et comme un rappel puissant de l'ordre hiérarchique établi depuis plusieurs années maintenant, le léchage de ses pieds. Je tente de faire plaisir à ma Maîtresse en suçant copieusement chacun de ses orteils puis en grattant ses petites peaux mortes avec mes dents. La peau de ses magnifiques pieds est rendue on ne peut plus souple grace à la petite bassine d'eau chaude positionnée face à moi. J'alterne du mieux que je peux les massages manuels et buccaux avant de lui sécher les pieds et de conclure mon travail par un massage hydratant. Je sens l'excitation monter en moi.
"Bien". Je ne sais jamais si ce petit mot prononcé par ma Maîtresse est une sanction de mon travail ou s'il s'agit de simplement me signifier que nous allons passer à autre chose (j'ai d'ailleurs plutôt tendance à opter humblement pour la seconde option).
Maîtresse Blanche se lève, part chercher un petit ustensile dans la salle de bain. En revenant, elle m'intime de me mettre à genoux face à elle, les mains derrière le dos puis de relever la tête. Elle tient un pisse debout dans ses mains, le positionne puis après un ferme "ouvre la bouche, Julia" m'enfonce en pleine gorge le pisse debout phallique. Les vannes s'ouvrent immédiatement. Je bois l'onde dorée de ma Maîtresse directement à la source. Procédant par acoups, elle en profite pour m'obliger à ce qui constitue une dégradation ultime mais qui, au vu de ma tumeur, me met dans tous mes états : une fellation dorée. En même temps que ma bouche se remplit, Maîtresse Blanche me sodomise la bouche tout en me tenant la tête.
L'intensité de ce moment est incomparable. Je suis à la fois impressionné par cette innovation et totalement sous le charme. Je me rends compte après coups du côté éminament sensuel de ce moment et de l'excitation qu'il provoque chez moi. Je n'ai qu'une seule envie à ce moment : sucer ce pisse debout continuellement et recevoir le fluide de ma Maîtresse.
Une petite caresse sur la tête vient sanctionner positivement mon comportement et Maîtresse Blanche m'envoie me doucher avant de poursuivre les hostilités.
Une fois toute propre et ma blouse de patient réajustée, je la rejoins dans la salle d'opération. Elle est habillée de façon "normale". Son haut noir et son pantalon noir tranchent naturellement avec ses escarpins blancs. Je me mets à genoux pour mieux l'admirer passer sa plus belle blouse blanche puis grimpe sur la table gynecologique à laquelle Doctoresse Blanche m'attache fermement.
"Julia. Il y a longtemps que tu n'a pas été fouillée comme il se doit. Tu sais que je dois régulièrement contrôler que tu es en bonne santé et ce n'est qu'en glissant mes doigts et autres que je pourrais dresser un diagnostic convenable. " Elle enfile deux gants en latex noir qu'elle enduit copieusement de lubrifiant avant de commencer l'auscultation invasive. Je suis serrée, stressée. J'ai peur de souffrir tant ma zone anale est abimée par des repas riches et peu adaptés. Un premier doigt vient écarter mon anus. Maîtresse Blanche travaille lentement mais surement pour écarter mes fesses et attendrir mes muscles. Un deuxième doigt vient encore agrandir l'espace. Avec des mots rassurants et en me coupant la vue en remontant ma blouse sur le visage, elle poursuit son exploration, professionellement, chirurgicalement. Les doigts laissent la place à un petit gode qui poursuit la dilatation. D'une main Docteure Blanche étire et écarte mon anus, de l'autre elle me glisse un doigt puis l'autre au fond de ma gorge. Le diagnostic a été confirmé. Le traitement peut commencer. Julia, si elle garde en elle son éducation de petite chienne et ne peut toujours que s'exprimer par aboiements, est devenue une petite sissy qui doit accepter de sucer tout ce qui lui ordonne sa Maitresse. Un petite sissy nue ou à l'uniforme de soubrette impeccable qui doit poursuivre la révélation désormais acquise de son statut de petite chienne, de petite slut lubrique. Je suce son doigt comme un bébé sa tétine. Une sensation de réconfort m'envahit tandis que les vas et viens du gode se font de plus en plus pressants. Comme une confirmation de que je suis au plus profond de moi et que Maîtresse Blabche à révéler au grand jour : un baby sissy lubrique. Pour mieux imprimer cette nouvelle condition et l'associer au plaisir dans ma tête, elle positionne un wand sur ma tumeur pour l'exciter et au décompte l'autoriser à pleurer des larmes blanches aussitôt avalées.
Le sourire de ma Maîtresse en guise de conclusion fut une récompense que je n'oublierais pas de sitôt. Mais je comprends après coups que mon éducation du jour n'est pas finie.
Comme ordonné, je me lève et me place face à Elle les mains sur la tête en position d'attente. Maitresse Blanche fouille dans un tiroir puis sort une espèce de ceinture reliée à un boitier électronique et une sorte de cage de chasteté en cuir. S'adressant à ma tumeur, elle lui explique que pour raffermir encore plus ma condition elle va souffrir pour la suite. Ma tumeur ainsi enveloppée se retrouve à la merci des impulsions electriques que ma Maitresse m'envoit par simple pression du doigt sur une petite télécommande.
Elle retire sa blouse, met son manteau puis m'ordonne de me rhabiller. J'ai intérêt à être rapide car je sais que toute lenteur excessive sera immédiatement sanctionnée. A chaque impulsion la douleur est vive. Je m'empresse et me dépêche. Ma tumeur, elle, souffre et se recroqueville. Nous sortons ainsi faire quelques courses, chercher un colis contenant de nouvelles bottes et surtout me torturer. Pas une minute ne passe sans une nouvelle impulsion. Je suis a la fois effrayée de jouer en plein jour, effrayée avant chaque impulsion mais absolument ravie de savoir que ma Maitresse peut me contrôler à distance et poursuivre une éducation qui me grandit et met en lumière ce que je suis vraiment.
En ultime récompense, de retour chez elle, je suis autorisé à lécher ses toutes nouvelles bottes tandis que je reçois une pluie d'impulsions électriques qu'il me tarde déjà de subir de nouveau.

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