le petit tétard

Le confinement a laissé des traces.

Julia serait presque comme son signe astrologique. Une petite vierge, une petite pucelle. Celle là même qui un jour eu l'envie d'appartenir à une femme aussi magnifique, troublante que Maîtresse Blanche.

La fin de cette étrange période signe le top départ d'une reprise de mes exercices quotidiens de dilatation. Je reste confiante et persuadée que le plus gros de mes plugs entre encore dans mon petit fessier. Je n'ai pas beaucoup de temps et ce soir je passe voir ma Maîtresse. J'aimerai lui montrer que tous ces efforts n'ont pas été réduits à néant à cause de l'éloignement qui nous a été imposé à tous.

Après plusieurs essais et beaucoup de lubrifiant, l'animal finit par entrer. Je le sens bien en moi. Je ferme les yeux et pense à ma Maîtresse, ravi de toujours obéir à cet ordre donné il y a longtemps maintenant : porter un plug le plus souvent possible.

L'idée de cette reprise d'entraînement était la bonne. Je m'en rends compte lorsqu'arrivé aux pieds de Maîtresse Blanche, celle-ci me présente son nouveau jouet : un plug gonflable relié à une poire qui libère de l'air à chaque nouvelle pression, faisant lentement enfler ce petit artefact.

Et la démonstration qui en est faite avant insertion me rappelle ces petits poissons ballons qui enflent pour se protéger de leurs prédateurs et qui décuplent de volume.

Maîtresse Blanche pousse doucement ce plug au fond de mes petites fesses puis commence à le gonfler. Une première pression puis 2 puis 3 puis... Elle attend mes réactions. Je suis tout émoustillé et en demande encore plus. J'ai l'impression que je peux en demander jusqu'à plus soif, jusqu'à éclatement tellement cette situation pourtant humiliante et inconfortable me fait me sentir encore plus soumise à Maîtresse Blanche, tant la sensation d'appartenance que procure cet outil est forte.

La raison de ma présence n'est pourtant pas liée à ma zone anale. Maîtresse sort ce soir et elle a besoin que ses chaussures soient nettoyées et cirées. Elle me tend le cirage : "Allez, au boulot Julia ". Je regarde ma Maîtresse et lui demande l'autorisation de lui lécher ses chaussures avant d'appliquer le cirage. Elles sont poussiéreuses et j'aimerai pouvoir faire un travail impeccable. Maîtresse finit par accéder à ma demande.

En frétillant de mon arrière train et si heureuse d'avoir cette autorisation, j'enduis le cuir de ses chaussures de ma bave pour retirer la poussière qui s'est accumulée. Je m'attarde également sur ses semelles en grognant de plaisir avant de remplir soigneusement ma tâche de souillon tandis que Maîtresse me tord les tétons et me griffe.

Je me dépêche de finir pour que Maîtresse Blanche ne soit pas en retard. Elle finit de s'apprêter et passe faire un pipi avant de partir. Enfin, elle me tire par mon plug gonflant et me traîne dans la salle de bain. Je marche à quatre pattes et à reculons tout en sachant que je vais d'ici peu être inondée de la pisse chaude de ma Maîtresse. Je tente d'en perdre le moins possible et de bien tout boire avant de nettoyer ses jambes et surtout les vénérer. Quel délicieux moment que celui d'une vénération de ses jambes magnifiques et interminables. Suçotter chaque petit doigt de pied, masser du mieux possible ses pieds à l'aide de la langue, en fermant les yeux pour y mettre toujours plus de passion.

Maîtresse est prête et me renvoie à la niche.

Un dernier coup sur mes testicules et ma tumeur en signe d'appartenance et de possession et je me retrouve dehors groggy, passionné, souriant et toujours plus soumis.



Commentaires

  1. Une réelle situation d'appartenance, pleine et entière. Pour ne pas dire tout en profondeur et dégoulinante de respect.

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