La Gynarchic Nurse Clinic



Une éternité. 

Par la force des choses, les seuls contacts que j'ai eu avec Maîtresse Blanche durant de longues semaines ne furent que virtuels. De retour à ses pieds et lorsqu'enfin elle me passe mon collier de servitude, j'ai peine à croire que je suis dans le réel. Ses doigts venant chatouiller puis presser mes mamelles me confirment que la parenthèse récente n'en était qu'une.

Mais elle aura laissé des traces. A commencer par la disparition de notre lieu de retrouvailles habituelles. Mais si ce nouveau lieu, sa clinique est différente, les us et coutumes restent les mêmes. Je commence donc par me placer aux pieds pour masser et lécher les pieds de ma Maîtresse. Je ne saurais dire si je suis devenue expérimentée et si j'arrive à la délasser efficacement tant je suis tout à la fois concentrée sur ma tâche naturelle et émoustillée d'être auprès d'Elle.

Maîtresse Blanche lit ses messages en buvant son thé pendant que Julia s'affaire à s'occuper le mieux qu'elle peut de son confort.

Cette activité aurait pu durer une journée entière mais une inauguration est au programme. L'inauguration de la Gynarchic Nurse Clinic ou GNC. Maîtresse m'y envoie patienter pendant qu'elle se prépare.

Durant ce temps, je suis à l'affût. À l'affût du moindre bruit, du moindre indice qui me permettra de savoir ce qui m'attend lorsque je serai solidement attachée au lit qui est face à moi. Ce faisant, ma tumeur coule. Je passe régulièrement ma patte dessus pour essuyer cette purulence puis avale consciensieusement toute trace qui viendrait trahir mon excitation.

 

Nurse Blanche entre dans la clinique et m'assène en guise de bienvenue deux belles claques pour sanctionner cette excitation. Elle m'a observé grâce à une petite caméra installée dans la GNC. Rien ne peut lui échapper dans son terrain de jeu. Mes joues rougissent de honte.

 

Nurse Blanche a épinglé un de ses nombreux badges sur sa blouse blanche. On peut y lire "rééducation fonctionnelle", soit la rééducation des corps. Ma trop longue absence nécessite très certainement de réinculquer certaines bases et réflexes au plus profond de mon corps. Mes petites mamelles par exemple ont considérablement rétréci et d'un geste, Maîtresse Blanche met à l'épreuve leur sensibilité. Je couine de douleur. Difficile de soutenir ce pincement qui d'habitude me fait plutôt grogner de bonheur. Le diagnostic tombe comme une évidence. Il va falloir travailler le corps de la petite Julia pour lui rappeler son appétit masochiste.

Et cela pourrait être intense. Nurse Blanche décide donc de me ligoter à un lit d'hôpital. Chaque membre se retrouve immobilisé et sanglé pour restreindre le plus possibles les mouvements du patient et ainsi permettre une efficacité maximale au traitement à venir. Une première vérification s'impose : l'ouverture de Julia. Nurse enfile un gant en latex et insère un doigt dans mon anus tout resserré. Comme un retour à la case départ. Julia serait presque redevenue une innocente petite pucelle. Maîtresse me travaille progressivement pour revenir à un état acceptable. Ma tumeur se dresse aussitôt. "Roh Julia. Tu es toute étroite mais ta tumeur est toujours aussi grosse. En plus tu lâches du pu sur tes sangles. C'est dégoûtant. Tu me nettoieras tout ça après.", gronde Nurse Blanche. Mais avant toute chose c'est l'heure du repas.

Maîtresse Blanche relève le haut du lit médical en appuyant sur un bouton. Je constate avec effroi que les seuls mouvements qui me sont autorisés sont des mouvements mécanisés et totalement indépendants de ma volonté. Si elle le souhaitait elle pourrait me nourrir la tête en bas par exemple. C'est du moins la pire chose qui me vient en tête à ce moment. Heureusement le côté pratique est privilégié et Nurse me passe un bavoir et ouvre un petit pot pour bébé avant de me nourrir à la cuillère pour faire une bonne sieste... la tête en bas...

Avant de s'éclipser Maîtresse me tend 2 joujous phalliques. Mes doudous pour la sieste.

Je tente de trouver le sommeil mais difficile de rejoindre Morphée tant la présence de ma Maîtresse me manque. Je m'agite un peu mais suis rapidement rappelée à l'ordre par sa voix sortant du haut parleur de la caméra. Rien de ce qui se passe dans la GNC ne lui échappe...

Si je suis agitée c'est aussi car ma vessie est pleine. Je tente de penser à autre chose mais rien n'y fait je vais exploser. Maîtresse Blanche ne m'a pas mis de couche. Je n'ai donc que deux options : geindre ou tout lacher. La deuxième n'est pas réellement une option car je ne me permettrai pas de souiller la GNC. J'appelle donc ma Maîtresse pour lui demander la permission de me soulager. Elle accède à cette demande en enveloppant ma tumeur par un dispositif directement relié à ma bouche puis s'en retourne à ses occupations.

Je suis partagée. Ce circuit fermé sera un cycle infernal et je vais devenir une simple pisseuse.

Mais je n'ai pas le choix. En ouvrant "mon robinet" je sens ce liquide chaud non pas dans ma bouche mais sur mon corps. Il y a une fuite ! Mais c'est trop tard pour s'arrêter. Et Julia de répandre son urine sur tout son corps comme une cochonne. Heureusement cela provoque le rire de ma Maîtresse s'amusant de mon humiliation. Mais également une punition de mes mamelles et de ma tumeur pour l'avoir dérangée.

Cette punition marque la reprise des hostilités. Maîtresse Blanche m'enfonce un suppositoire de glycérine pour bien nettoyer sa petite chienne avant de venir la fouiller une fois propre pour connaître l'ampleur des exercices d'entraînement anal à prescrire. Diagnostic : Julia a bien trop rétréci et devra être encore plus sérieuse à l'avenir pour sa Maîtresse.

 

Maîtresse Blanche m'annonce pour finir qu'elle va me libérer après avoir drainé ma tumeur qu'elle enveloppe dans un préservatif. Elle applique un vibromasseur tout en gardant ses doigts enfoncés au plus profond de moi. Mais il manque quelque chose.... Il lui faudrait une assistante ou un troisième bras pour pouvoir en même temps torturer mes mamelles. Par un ingénieux dispositif élastique relié à son poignet elle parvient au résultat escompté : donner une jouissance ruinée à Julia tout en fouillant son petit cul de cochonne avant de lui faire avaler tout son foutre.

 

Julia repart salie et dégradée, machouillant son préservatif comme un chewing gum, mais elle repart si heureuse d'avoir été aux pieds de sa Maîtresse, si heureuse d'avoir encore appris à être un meilleur soumis.

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