Une séance chez l'Esthétichienne


C'est le grand jour. Non seulement cela me semble une éternité depuis mon dernier passage à la GNC mais surtout, je rencontre une amie de ma Maitresse. J'aime toujours faire la connaissance de son entourage. J'aime découvrir les différentes facettes du BDSM et découvrir de nouvelles personnalités. Secrètement je pense aussi que j'aime que de nouvelles personnes découvrent cette autre personnalité qui m'habite.
Pour correctement recevoir Lady Syene à la GNC, je suis immédiatement mis a profit. Elle n'est pas encore arrivée. C'est sa grande première dans ce temple francilien du medfet et tout doit etre parfait. C'est donc tout naturel qu'une fois mon collier attaché je me retrouve également à porter rma petite blouse de souillon pour nettoyer de fond en comble les différents espaces de jeu.
Affublée de deux éponges attachées à chacune de mes petites pattes, ma tâche est rendue plus difficile après la pose d'un humbler venant compresser mes petites couilles et les rendre vulnérables et disponibles. Je fais quelques pas et comprends vite que cet instrument est une gigantesque torture. Mais une torture dont mon corps semble par acoups se délecter. Toujours est il que je me rends compte que seuls deux choix s'offrent à moi pour atténuer ce malaise. Soit me mettre à quatre pattes pour ne pas sentir la douleur du humbler. Soit cambrer mon corps,  me pencher et ainsi mettre en évidence mon postérieur.
J'alterne les deux positions en passant l'aspirateur pendant que ma Maitresse traite ses mails tout en buvant son petit café. Elle ne m'interrompt que pour m'asséner quelques coups de fouet lorsque je passe devant elle pour me motiver et accélérer la cadence.
Je virevolte comme une petite fée du logis (non). Je rampe lamentablement, mes deux éponges en guise de main pour tout récurer et espérer m'épargner une punition en cas de travail bâclé.
Ma tâche s'achève. L'inspection est satisfaisante mais pas totalement. Maitresse m'ordonne alors de me mettre à quatre pattes devant elle en lui présentant mes petites fesses poilues et mes petite couilles solidement attachées. Commence alors la sanction de mon travail. Une torture des couilles qui va de plus en plus fort. "Tu aimes de plus en plus le CBT, Julia. Je note. Tu sais, Lady Syene est une professionnelle de l'emasculation. Elle est passée spécialiste dans l'art de donner des coups dans les parties les plus sensibles des soumis !" Je tousse un peu, gêné. L'image est effrayante. Mais excitante à la fois. "Heureusement pour toi elle vient pour une auscultation aujourd'hui. Enfin heureusement, je ne sais pas si c'est le terme... On verra. Maintenant on va te mettre une cagoule, un baillon et un masque et tu vas filer en salle d'attente, elle va bientôt arriver. "
Je monte à l'étage et attends sagement, privé de la vue. Un gros baillon boule m'empêche d'émettre le moindre son. J'entends son arrivée à la GNC. J'attends (im)patiemment que les docteures finissent par m'appeler .
La porte s'ouvre. Deux belles femmes à la blouse blanche assortie me regardent d'un oeil sévère. "Voici le specimen. Il se prend pour un chien et ne sait qu'aboyer ou se déplacer à quatre pattes. Il est obéissant mais je sure sure qu'on peut remédier à la situation et le rendre tout lisse. Peut être qu'il sera moins canin."
Maîtresse Blanche tire sur ma laisse pour m'emmener dans la chambre d'hôpital. "Assis" dit elle, sèchement. Je me mets en position canine à ses pieds. "Non Julia. Assis sur la chaise" me dit elle en pointant du doigt une chaise percée avec des accoudoirs sur lesquels deux sangles de segufix permettent de maintenir les patients en place. Je baisse les yeux puis me mets en position.
L'auscultation peut commencer. Maitresse Blanche et Lady Syene enfilent des gants en latex puis se saisissent d'un petit goupillon de prélèvement nasal. Maitresse Blanche commence, enfonce lentement le petit bâton de plastique jusqu'à constater une première larme puis le retire avant de le tendre tout sourire à Lady Syene qui sans ménagement vient violer ma narine gauche de va et viens profonds, intenses et évocateurs.
"Parfait. Maintenant grimpe à quatre pattes sur le lit. On va t'épiler. J'en ai assez de tous ces poils Julia. Je sais que tu te prends pour une chienne mais quand même c'est vraiment trop moche. Quand ton cucul sera guéri je veux que tu sois bien lisse. On va donc bien tout retirer."
Lady Syene apporte un petit chariot sur lequel une machine pour faire fondre la cire est disposée. Quelques minutes après, je sens l'aspect brûlant et dégoulinant de la chose. Ma raie anale ma vite être propre mais pendant ce temps, j'alterne entre la sensation de brûlure et la douleur des poils arrachés sauvagement. Lady Syene est une virtuose froide. Elle applique consciensieusement sa méthode. Sans ménagement ni empathie.
Mes cris étouffés par le baillon boule n'y changeront rien. Maitresse Blanche voit que la douleur est forte. Elle vient alors, sadiquement ou en professionnelle appliquée, en créer une autre comme pour me soulager en pressant mes mamelles fortement entre ses doigts gantés puis s'installe sur le lit à mes cotés. Elle me retire ma cagoule et mon baillon puis me presente son index. "Suce Julia ça va te réconforter pendant que Lady Syene finit son oeuvre. Du reste le temps que tu guérisses on va t'apprendre à être une bonne suceuse."
Je m'applique du mieux que je peux. C'est si réconfortant. Un doigt de Maitresse dans la bouche, un téton martyrisé par son autre main et une alternance de chaud et de sensation de tiraillement du derrière par les mains expertes de Lady Syene.
"Et voilà toute propre, dit elle soudainement en claquant mes fesses. Qu'est ce qu'on dit ?" J'aboies, le doigt de Maitresse encore dans la bouche.
"Bon c'est pas concluant. Le patient se prend encore pour une chienne. On va la drainer une dernière fois puis on la relachera dans la nature. On verra si maintenant qu'elle est toute lisse elle attire les autres chiens du quartier."
Maitresse Blanche se releve, m'ordonne de me mettre à genoux face à elles et me tends un morceau de papier de verre. "Allez enveloppe ta tumeur là dedans et astique toi. Tu as deux minutes pour lacher ton petit pus. Si tu y arrives tu lecheras tout puis tu nous laisseras on a encore du pain sur la planche."
Je me masturbe le plus vite possible sans trop penser à la douleur et aux rougeurs que je fais endurer à ma tumeur. Je regarde les deux docteures s'amuser de mon visage mi excité mi peiné par la douleur.
Maitresse commence son compte à rebourds. Il ne me reste que dix secondes. Je veux y parvenir pour leur faire honneur et leur rendre hommage quitte à laisser mon sang sur le sol. L'orgasme est accordé. Ma tumeur libérée de son enveloppe rugueuse et je repars toute rafraichie et peut être guérie. Enfin, si on peut dire. Les consultations à la GNC ne règlent jamais totalement le problème médical que l'on rencontre. Et on est constamment obligé de venir subir des examens complémentaires.... 

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