Vision trouble



Après avoir livré de nouveaux meubles à ma Maitresse qui viendront apporter une nouvelle touche à la salle d’examen, je me déshabille pour entrer dans la GNC. Je présente à Maitresse Blanche son déjeuner : quelques makis et sushis végétariens. Je me positionne à ses pieds et l’admire tandis qu’elle prend son repas.

Il est aussi l’heure de manger pour Julia qui a sa petite écuelle juste devant elle. Je reste à quatre pattes, en attendant qu’un de ces makis finisse par tomber ou par terre ou dans l’écuelle. Maitresse Blanche en mâche copieusement un avant de le recracher dans mon écuelle. Je me rue sur ma nourriture prémâchée. Ce sera mon repas du jour, gracieusement offert par ma Maitresse. Un doux mélange de riz, de concombre, de feuille d’algue et de salive de Maitresse Blanche. C’est chaud voire tiède. C’est interpellant. C’est par ce côté que je mesure l’humiliation de ne manger que ce que recrache ma Maitresse. Mais je finis bien chaque maki généreusement donné, ravi d’être nourri. Du reste, je n’ai accès qu’à ceux qui sont de qualité moyenne. Pas de saumon avocat pour les petites chiennes. Du chou, puisqu’elle n’aime pas ça, et ceux au cornichon (parce que du cornichon dans un maki c’est finalement pas très bon). Chaque fois que j’ai fini, je la regarde mâcher le suivant. Elle me sourit. Je me sens bien. Je pense à tout ce que je pourrais faire pour lui apporter ma soumission.

Le repas touche à sa fin. Maitresse Blanche m’allonge sur la table d’examen, me recouvre d’un drap puis s’éclipse pour se préparer pour l’auscultation du jour. Je commence à m’endormir mais je la sens virevolter dans sa GNC, son lieu si magique que j’ai la chance de pouvoir visiter régulièrement, et qui est en perpétuelle évolution, sous l’effet de l’esprit bouillonnant de ma Maitresse.

Le drap se relève. Je la vois tout sourire, prête à commencer les opérations. Elle porte une de ses plus belles blouses, un uniforme médical et militaire bleu, protégé par un tablier blanc. Plusieurs instruments sont disposés sur un petit chariot à côté de moi. Elle enfile des gants puis me dit, tout calmement : « on va te violer la tête Julia. En ces temps de coronavirus, j’ai besoin de savoir ce qu’il y a au fond de tes parois nasales et j’ai besoin de vérifier que tu n’es pas contagieux. » Je comprends tout de suite qu'un test PCR va m’être imposé. Et de ce que j’en ai compris, ce n’est pas douloureux. Effectivement, Maitresse enfonce une espèce de tige en plastique dans mon nez, progressivement pour venir chatouiller une paroi nasale située très très loin dans ma tête. D’où l’impression de se faire violer. Elle touche une partie de mon corps que jamais personne n’avait touché. La sensation n’en reste pas moins très désagréable. Des larmes coulent d’elle même. Impossible pour autant de définir leur origine. Surement mon corps qui proteste. Chacune de mes narines y passe.

« Parfait ! » dit-elle, avec la voix d’une personne satisfaite du travail accompli. Elle se frotte, les mains puis me lance un « Allez, installe toi sur la table d’opération gynécologique, il y a d’autres choses que je veux aller voir ». Gloups. Même si cette table est arrivée tout récemment dans la GNC, j’ai déjà de multiples souvenirs la concernant. Et ce n’est pas forcément signe d’une partie de santé, lorsque Nurse Blanche vous attache à ce mobilier au nom évocateur. Cette table est cependant une merveille. Nurse peut vous positionner comme elle l’entend, par une simple pression sur quelques boutons. Me voici donc positionné à bonne hauteur, pour lui permettre de bien travailler mes fesses. Cela faisait longtemps que je n’avais pas subi d’exercices de dilatation annale. Et je suis, pour une fois, peu rassurée. Peu rassurée, car j’ai un peu délaissé mes exercices quotidiens de port de plug (quelques désagréments physiques et la perspective que malgré tous mes efforts, je ne pourrais certainement jamais être fisté, le justifient surement). Je suis peu rassurée aussi car la table monte, monte, monte… Jusqu’où ? Vais-je être écrasé au plafond ? Je pense tout de suite à Pierre et Madame Musquin sur leur ascenseur pour qui cela n’était pas passé très loin. Maitresse me remet dans une position confortable pour elle, branche un ordinateur qu’elle positionne à côté d’Elle puis me présente son nouveau jouet. Une caméra fixée au bout d’un long, très long tuyau. «  Julia, je me meure d’envie d’aller voir ce qu’il y a au fond de toi. Je veux tout savoir, sonder ton fondement et comprendre ce qu’il y a au fond de ton cul. Tu verras tout ça aussi.

Elle enduit ce nouvel instrument de lubrifiant puis commence la pénétration. A l’écran, une vague forme rose, puis grise. Du gris, du gris, du gris et rien d’autre. Nurse Blanche a beau tourner le tuyau et l’enfoncer toujours plus, rien à l’écran. « T’as le cul gris Julia. Quelle déception. Je m’attendais à trouver des choses beaucoup plus intéressantes là dedans. ». Bon, eh bien s’il y a rien là dedans, alors on va le garnir ce petit cul. Maitresse Blanche se relève, enfile un tablier blanc, passe de nouveaux gants puis me place une serviette sur la tête.

Je sens un premier doigt venir dilater mon anus. Puis deux, puis … je ne sais pas. Mon anus retrouve son élasticité et je suis ravie de pouvoir m’offrir. Quel bonheur. «  On reprendra les exercices Julia. Je sais que tu aimerais vraiment être fistée un jour. Peut être qu’on pourrait y arriver finalement. » Elle me retire la serviette du visage. Je la contemple tandis qu’elle m’enfile un gros gode au fond de moi puis, se pressant dessus, simule une sodomie qui me retourne le cerveau. Je vis un de mes plus gros kinks : se faire ramoner par une infirmière en blouse et tablier, l'œil sévère, et le déhanchement robuste et ferme. Petite Julia se fait secouer comme jamais. Maitresse Blanche met un préservatif sur ma tumeur puis commence à branler sa petite chienne tout en l’enculant violemment. « Tu boiras tout ton petit jus après petite Julia ». Je mets peu de temps à le remplir de mon pus. Je suis dans un espace de bonheur rarement atteint. Ma Maitresse m’a souvent sodomisé. Mais rarement en position de la voir. C’est je crois quelque chose qui renforce encore plus ma soumission. Voir son plaisir à me prendre décuple mon côté petite sissy.

En tout cas, après avoir avalé toutes mes cochonneries, je ne peux que regarder ma Maitresse avec gratitude. Je sais qu’elle ma fait un magnifique cadeau. Je sais que cette sodomie était avant tout une récompense. Je veux pouvoir la remercier encore plus.

« Bon Julia. Maintenant, je suis fatiguée. Je vais donc me reposer pendant que tu ranges bien tout et que tu installes un nouveau placard. » Ni une, ni deux, je bondis hors de la chaise gynécologique, prêt à faire le meilleur travail possible pour ma Maitresse. Je ne m’étendrai pas davantage, ni avec précision sur la nature des travaux menés. On peut simplement en dire que faire des travaux nu, sous collier pour sa Maitresse, est un vrai gage de soumission et que cette forme de domination domestique, si cela n’est pas mon moteur initial, ni mon aspect préféré des jeux BDSM, elle n’en demeure pas moins l’illustration parfaite de ce qu’un soumis est prêt à faire pour sa Maitresse.

Une fois mon labeur fini, Maitresse Blanche m’autorise à venir lui lécher les pieds. (L’avantage du test PCR négatif réalisé quelques heures auparavant). Encore une nouvelle récompense. Et pas des moindres. Cela fait une éternité que je n’avais pu à ce point vénérer le corps de ma Maitresse. Je prends donc mon temps. Je ne veux pas la brusquer. Je ne veux pas ressembler à ce petit chien tout baveux qui vient se ruer sur sa Maitresse. Non, je veux faire les choses bien. En douceur. Je me délecte de chaque passage de ma langue sur et entre ses orteils, en espérant simplement que mon travail reste a minima acceptable, faute d'entraînement en la matière depuis près d’un an et en espérant ne pas avoir à attendre une année supplémentaire pour témoigner toute mon adoration pour elle, ma Maitresse.

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