Un nouveau refuge
Cela faisait longtemps. Longtemps que mon statut de petite chienne n'avait pas été sublimé par Maitresse Blanche. En la découvrant vêtue de simili cuir sous sa blouse blanche, je ne comprends pas forcément au premier abord que je suis entrée dans sa clinique vétérinaire. Ce n'est qu'une fois équipée de mon collier, d'un harnais et d'une laisse que je mesure que j'aurais mieux fait de rester dehors dans le froid. Je garderai ainsi ma liberté, si difficile soit-elle. Quand on est une petite chienne abandonnée, on a tendance à chercher le réconfort à tout endroit et à tout moment. Mais en poussant une porte il se peut qu'on pénètre dans un lieu de réeducation forte comme la Gynarchic Nurse Clinic.
Maitresse Blanche en me tirant par la laisse jusqu'au fond de sa clinique prend une fois de plus possession de sa petite chienne.
"À quatre pattes vilaine. Attends moi là, je reviens." Je patiente dans une position habituelle d'attente. Le regard vers le sol. Le dos cambré. Les fesses bien accessibles.
Acessibles pour le lavement systématique que ma Maitresse m'inflige. Je reste à quatre pattes. Enfin trois puisque je suis tenue de maintenir la canule en place jusqu'au complet nettoyage de mon for intérieur. Je sens le liquide me pénétrer et occuper toute la place. La sensation d'invasion n'est pas désagréagle pour autant mais je me revois dans cette position et mesure son cote humiliant dont se délecte ma Maitresse.
Une fois bien nettoyée, Elle m'emmène dans la salle d'examen. Une pièce blanche, froide et largement équipée. Une pièce que je connais bien mais qui change presqu'à chacune de mes venues. Je sais que quelque chose est caché derrière le paravent mais je ne sais pas encore ce que c'est.
"Grimpe sur la table" me dit elle d'un ton ferme et autoritaire. "On va contrôler que je ne récupère pas une petite chienne malade et au delà de tout traitement."
Elle boutonne sa blouse, enfile des gants d'examen puis prend ma température rectale avant de me placer un tensiomètre sur le doigt. J'ai le coeur qui bat vite. Comment ne pas être mi excitée mi apeurée en telle situation? Comment ne pas etre subjuguée par la beauté de ma doctoresse tout en étant inquiète concernant les traitements sadiques qu'elle semble vouloir me réserver ?
Ma tension monte d'un cran lorsque le paravent se dérobe sous mes yeux pour laisser la place à une table d'auscultation gynécologique. La grande nouveauté de la GNC ! L'excitation se mèle à l'effroi. De quoi vont accoucher toutes les situations qui impliqueront ce mobilier ? Les jambes toujours écartées, à la merci des tortures traitements de la GNC sont un premier indice de la vulnérabilité qu'il offre. Pieds et poings liés, ligoté, j'observe la scène de préparation. Maitresse Blanche a décidé de m'installer un catether pour drainer ma tumeur avant de fouiller mon fondement.
Je l'entends commenter ses actes tandis qu'elle lubrifie une première sonde urétrale qu'elle enfonce progressivement. Je sens cet instrument violer mon prepus. Il écarte la fente de ma tumeur pour faciliter l'accès au long tuyau qui reliera directement ma vessie à une petite poche recueillant mon urine. Une sensation de brûlure. Une sensation de perte de contrôle. Je ressens une envie constante d'uriner jamais satisfaite. Pourtant tout va bien. La situation est sous le contrôle d'une vraie professionnelle de l'incontinence canine.
Cette partie terminée, je sens un autre instrument s'approcher de mes petites fesses, y entrer difficilement, douloureusement mais surement.
"Voilà Julia. Tous les trous sont bouchés. On va maitenant drainer le pu de ta tumeur avec ce wand. Maitresse Blanche retire le catéther, pose le wand sur ma tumeur puis comme elle a les mains libres, en profite pour marquer mes petites mamelles.
Cela faisait longtemps. Cette douleur est vraiment une bouffée d'air frais, un accélérateur de jouissance. Au décompte imposé je parviens à remplir le préservatif préalablement mis. Maitresse Blanche le retire, vide son contenu au fond de ma gorge puis le laisse dans ma bouche comme un vulgaire chewing gum avant de me libérer dans la nature. Elle sait que Julia reviendra vite en demander encore...
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