Auscultation de concert

Maîtresse Blanche m'a fait un inestimable cadeau en m'autorisant à remettre mon sort entre ses mains et celles de Maîtresse Euryale à l'occasion de son séjour en France.

 

En me présentant face à ma Maitresse et à sa complice, je suis tendue. Mon coeur bat la chamade. Un stress lié à ma longue absence, lié aux étincelles produites lorsque leur duo se forme. De fait, je n'ose les regarder dans les yeux en entrant à quatre pattes dans la GNC et maintiens ma tête proche du sol et de leurs pieds qu'il m'est cependant interdit de lécher, contexte sanitaire oblige. La torture commence déjà. Voir leurs jolis pieds juste sous mon nez et ne pas pouvoir les vénérer comme il se doit achève de faire monter ma température.

 

Maîtresse Blanche me passe mon collier puis se saisit d'un thermomètre qu'elle glisse dans mes fesses. Je regarde toujours le sol et les pieds de Madame Euryale écraser mes petites mains tout en contraignant ma tête de ses deux belles et longues jambes. 38°C : elle est chaude la Julia. Peut être un peu trop se disent les deux nurses qui préfèrent s'assurer que la petite chienne qui se présente à elles ne serait pas allée se perdre dans un cluster. Un test au coronavirus s'avère nécessaire et pour que celui-ci fonctionne, il me faut leur donner mon sang. Un don comme je les aime. Un don de soi. Nurse Euryale s'approche de moi par derrière, malaxe mes fesses, constate, à mon grand étonnement qu'une serait plus grosse que l'autre puis se saisit d'une aiguille afin de récupérer quelques gouttes de sang pour dresser un diagnostic.

 

Mais plus facile à dire qu'à faire. Car malgré de multiples tentatives, je ne saigne pas. Je sens les piqûres sur ma petite fesse toute désolée de ne pas ressembler à sa voisine et toute désolée de ne pas se laisser faire si facilement. Un coup plus franc, plus profond (et plus douloureux) plus tard, Julia se met à saigner. Maîtresse Blanche récupère une petite goutte pour la passer au révélateur. Négatif. Julia n'a pas de fièvre, elle est juste chaude. Il faut donc la refroidir. C'est à ce moment, rassurée et surtout en attente de tout ce qui va suivre que je prends mon courage à deux mains et ose regarder celles à qui je m'offre. Madame Euryale le note. Un peu comme si cela avait été une faute ou un manque de respect de ma part, alors même que c'était tout l'inverse dans ma petite tête.

 

Elles portent toutes deux le même uniforme : blouse bleue et tablier blanc. Coiffe médicale et escarpins blancs. Elles sont absolument parfaites. Et à cette vue ma tumeur se met immédiatement à mouiller, comme d'habitude. Sauf que là précisement je ne peux pas comme d'habitude l'assécher en avalant ce pus, portant un masque ridicule ressemblant plus à un slip qu'autre chose. Maitresse Blanche m'ordonne de grimper sur le lit médical de la GNC afin de m'y attacher solidement. Je commence par me laisser faire étant une petite chienne bien dressée mais comprenant vite qu'une fois attachée je serai à leur totale merci sans savoir ce qui m'attend, je commence à résister. Mais il est bien trop tard et je me retrouve donc immobilisée de force de la tête aux pieds, nue, sanglée et vulnérable face à deux nurses sadiques qui commencent le travail de préparation de l'opération.

 

Gants stériles, eau stérile, bétadine, sonde : tout est prêt pour venir visiter l'intérieur de ma tumeur et perdre le contrôle de ma vessie. A mesure que je les entends s'affairer, ma respiration s'accélère. Ma température monte. Le dernier essai fut très douloureux et pourtant cela a toujours été un grand fantasme de se faire ainsi pénétré et de retourner malgré soi à un âge d'incontinence.

 

Maîtresse Blanche me décalotte puis insère le petit tube progressivement au fond de ma tumeur maintenue verticalement par Maîtresse Euryale. La douleur est un peu plus supportable cette fois-ci mais je dois m'éloigner le plus possible de la réalité de ce fantasme pour éviter que la tumeur ne grossisse. Et c'est là toute ma frustration : être obligée de penser à autre chose pour éviter de souffrir physiquement. A noter tout de même que c'est efficace : la petite poche reliée désormais à ma vessie commence à se remplir toute seule. Je sens que je me vide mais ne peut rien y faire.

 

Pendant que Maîtresse Blanche me scotche ma petite poche sur la cuisse, Maitresse Euryale s'asseoit sur le lit puis vient plonger son regard dans le mien en écartant mes yeux. J'ai l'impression que je pourrais être changée en une statue de pierre à tout moment. Ses yeux sont absolument magnifiques. Son regard perçant vous laisse vulnérable. Comme si elle contemplait le fond de votre âme, votre vie entière, vos fantasmes et vos secrets les plus enfouis au fond de vous même.

 

Et il semble qu'Elle y ait vu un masochisme ne demandant qu'à être satisfait. Ma Maitresse s'approche alors puis commence à titiller mes petits tétons, rasés pour l'occasion [au cas où vous vouliez jouer avec vos petites coupelles à vide d'air]. Cela m'excite comme rarement. Et ma tumeur se met à grossir en avalant progressivement le catether. Ce qui ajoute une douleur supplémentaire. Plus Maitresse Blanche torture mes têtons, plus je bande, plus je bande, plus je compresse ma tumeur, ce qui me fait bander encore plus. Je ressens un plaisir incomparable en la regardant me martyriser et se nourrir de ma douleur et des réactions de mon corps. Un moment qui restera incontestablement dans ma mémoire. Je ressens encore ce moment physiquement au moment d'écrire ce compte-rendu, c'est dire à quel point Maitresse Blanche a pris possession de moi, de mon corps et de mes émotions. Pour mon plus grand bonheur. Ma vie a radicalement changé depuis et pour rien au monde je voudrais me défaire de l'emprise qu'elle a sur moi.

 

A présent, il est l'heure de ce que mes deux tortionnaires ont nommé le bouquet final. Je ressens une forme d'impatience chez elle depuis qu'elles en ont parlé entre elles en début de séance. Elles m'ordonnent de me placer à quatre pattes au milieu de la pièce et me présentent un spéculum qui finira, bien évidemment enfoncé dans mon fondement de petite chienne.

 

Maîtresse Blanche passe un gant, enduit des doigts de lubrifiant puis me pénètre. "Oh elle est toute serrée la Julia !" Entendant ces mots? Mon corps s'ouvre spontanément. "Ah ! Elle est serrée mais elle s'ouvre très vite. Ne t'inquiète pas Julia. On va reprendre ton entraînement plus sérieusement à l'avenir." Mes deux heures de plug tous les jours servent donc quand même un peu. Enfin ils me servent aussi à m'exciter toute seule comme une petite chienne quand je suis loin de ma Maîtresse.

Madame Euryale se saisit alors du speculum, l'agite sadiquement sous mes yeux en insistant bien sur l'entonnoir auquel il est relié. "Minute, un entonnoir ? Mais comment ça un entonnoir ?" J'allais vite le comprendre après qu'elle m'enfonce sans ménagement cet ustensile au fond du trou. Je me retourne, me place sur le dos, les fesses en l'air conformément aux ordres qui me sont donnés.

 

C'est à ce moment que je ressens une des plus grandes humiliations de ma vie. Mélomane et musicien, mon cul se met alors à jouer de la trompette. Je n'ai aucune prise sur cet air qui s'échappe de mon corps provoquant l'hilarité des deux nurses à mes dépends. La situation, étant tout de même cocasse, je ne parviens pas à garder mon sérieux en imaginant la scène de l'extérieur. Je suis ridicule mais le ridicule ne tue pas et ce qui ne tue pas rend plus fort. Alors autant être ridicule plus souvent, je serai un meilleur soumis pour ma Maîtresse à force d'humiliations.

 

Le concert ayant pris fin, Maîtresse Blanche se place au dessus de moi, ses pieds autour de ma tête puis visant magistralement vient remplir mon anus de sa pisse toute chaude. Je me fais pisser dedans. Je ne bouge pas alors même qu'une flaque vient se former autour de mon corps avec tout le surplus que l'entonnoir ne parvient pas à endiguer. Mon cul avale tout ce qu'il peut du du nectar des deux déesses. Un lavement doré directement à la source. Je n'avais jamais vu ça ! Encore une preuve de la force d'innovation du tandem BlanchEuryale ! Car bien évidemment alors même que je suis déjà pleine à ras bors, Maitresse Euryale vient à son tour se placer au dessus de moi pour en rajoutee une couche. Je me sens m'alourdir de plus en plus. Le poids de ce liquide aidant, je ressens un plaisir anal. Moins intense que lorsque je suis prise ou fouillée mais somme toute similaire. L'une des principales différence c'est que je ne suis à ce moment pas une chienne mais tout simplement devenu de vraies toilettes.

La suite, vous la devinez. "Le bouquet final", ou comment tirer la chasse. Je retire mon spéculum puis sur ordre, pousse pour éjecter tout ce fluide introduit de force. Un splendide feu d'artifesse se produit sous leurs yeux amusés et ravis !

 

Leur amusement aura été complet après que je me sois masturbé face à elles dans la mare de pisse en imitant la dinde. Après autorisation je lâche un glouglou des plus convaincants en répandant mon pus sur le sol que je m'empresse immédiatement de lécher pour nettoyer toutes mes cochoncetées.

Fin ! Ou presque, j'ai tout de même eu le droit de lêcher les semelles de Maîtresse Blanche et de Maîtresse Euryale en guise d'au revoir.

Leurs réunions produisent toujours des étincelles - cela s'est une nouvelle fois vérifié - et on n'en sort rarement indemne mais on repart toujours la tête dans les nuages, un sourire un peu niais au coin des lèvres en espérant que Maîtresse Blanche m'autorisera à nouveau à être leur jouet commun.


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