Douloureuse sissyfication de Julia


Tout vient à point à qui sait attendre...

Voilà un adage que je déteste particulièrement. Il sous-entend qu'il est nécessaire de savoir patienter, de prendre le temps. Ce sont pourtant des qualités hautemement louables pour un soumis qui se veut au service d'une femme. Savoir être patient c'est se conformer au tempo fixé par une autre personne, en l'occurrence sa dominatrice à qui l'on confie sur un temps plus ou moins long l'intégralité du pouvoir de décision.

Je pense que seuls quelques mois s'étaient écoulés depuis ma rencontre avec Maîtresse Blanche et mon entrée officielle à son service lorsqu'à sa demande je lui expliquais les raisons profondes et les contours exact de mon fétichisme pour les blouses, les tabliers, les uniformes médicaux et... les uniformes militaires. Si les premiers ont une connexion directe avec mon enfance, les uniformes militaires, et principalement la chemise blanche et la cravate symbolisent pour moi l'ordre, le rapport hiérarchique, la soumission du prisonnier à sa geôlière.

Mais, conformément à mon engagement de servir les désirs de ma Maîtresse et les siens avant tout, je n'ai pas insisté lorsque j'ai pu constater que ma fascination et mon fétichisme ne rencontraient pas la résonance escomptée. Tout du moins, j'ai remis à plus tard ce sujet. Pour de multiples raisons. La première d'entre elles étant le lâcher prise, ma volonté de se conformer aux attentes de ma Maîtresse et apprendre et découvrir à ses pieds la vastitude d'un univers et plus précisément de son univers.

Il y a quelques mois, après plusieurs années donc, j'ai réévoqué mon attrait pour cet uniforme. L'acceptation de ma Maîtresse, preuve de mon bon comportement (?), m'a empli de joie et c'est donc avec un grand plaisir que je lui offrais une chemise blanche et une cravate noire en fin d'année.

Une première étape. Je ne savais trop quand ce fantasme se réaliserait mais je savais que je saurais encore une fois être patient et me conformer au tempo décidé par ma Maîtresse.

Au vu de cette longue introduction contextuelle, c'est dire si j'attendais ce moment. Aussi, lorsque la porte de la GNC s'ouvrit et que je vis Maîtresse Blanche porter jupe en cuir et chemise blanche, je compris que ma récompense était arrivée. Je me précipitais immédiatement à ses pieds pour embrasser ses magnifiques cuissardes, en guise de salutations soumises traditionnelles mais aussi pour témoigner toute ma reconnaissance tandis qu'elle ajuste sa cravate et son corset de cuir.

Rarement j'ai été autant excité. Alors même que je sais pertinemment que de tels cadeaux doivent se payer.

Je suis encore sur mon petit nuage quand plus tard, Maîtresse Blanche m'attache solidement sur le lit d'hôpital à l'aide d'attaches segufix, sans oublier la tête (alouette). Je n'aurais plus la liberté de la contempler comme je l'aimerais mais ce n'est pas grave. Son image est désormais comme une persistance rétinienne. Je ne vois plus qu'elle, comme hypnotisée, prête à satisfaire du mieux que je peux toutes les expériences qu'elle compte me faife subir. Le frottement de sa chemise sur mon corps pendant qu'elle m'attache achève totalement ma tumeur qui se dresse comme si elle voulait toucher le plafond mansardé de la GNC. Encore davantage quand Maîtresse Blanche passe une blouse blanche par dessus son uniforme du jour, puis me regarde, le sourire en coin avant de préparer un champ chirurgical aseptisé au-dessus de moi.

Mais ma tête sait, elle, que la pratique du jour pourrait sensiblement devenir une limite.

Conformément à mon moto, une limite, ça se définit. Tant que la pratique n'a pas été testée, on ne peut pas savoir les réactions physiques ou cérébrales que cela peut engendrer. C'est donc naturellement que j'acquièse lorsque Maîtresse Blanche me présente 4 cathéters à perfusion pour créer 4 mamelles sur mon corps en y injectant le serum dont elle a le secret.

Une première aiguille vient s'enfoncer dans ma chair. Je ne la sens pratiquement pas. Une seconde symétriquement opposée, juste sous mes tétons. La piqûre est un peu plus douloureuse. Douleur très rapidement atténuée par la pose au niveau des côtes de la troisième aiguille. La douleur  est très forte cette fois-ci (peut être du fait que je suis tout maigrelette ?). Je  commence immédiatement à me sentir comme la grenouille qui voulait être aussi grosse que le boeuf. Julia, petite chienne gourmande qui ne mesure pas les conséquences de ses fantasmes ? Sûrement. Mais c'est en essayant qu'on ressent, qu'on comprend et qu'on calibre son endurance.

Toujours est-il que Maîtresse Blanche dans sa bonté me laisse le choix pour la première injection. Je tente de choisir la première piqûre, celle que je n'ai même pas senti. Maîtresse comprend la deuxième. L'injection commence. La sensation de piqûre est réactivée. Je souffle fort pour mieux absorber cette douleur. Je fais de mon mieux pour donner satisfaction à ma Maîtresse et endurer cette pratique nouvelle. Maîtresse Blanche prend son temps et injecte doucement le liquide en me rassurant. Rien n'y fait, je subis la pratique sans trop savoir jusqu'où je parviendrais à aller. Quelques tous petits millilitres plus tard, le jeu s'interrompt. La limite est clairement atteinte pour le moment.

Maitresse Blanche le note, retire les cathéter puis se saisit d'un écrase tumeur pour punir mon manquement.

Ma tumeur est ainsi solidement prise en sandwich par deux plaques, serrées par quatre vis que Maitresse ressère progressivement.

Plus elle serre, plus ma tumeur gonfle. Je la regarde tout sourire me torturer et prend un plaisir incroyable à voir son visage illuminé par cet accès de sadisme.

Pour me récompenser tout de même, pour mon courage peut être, Maitresse m'autorise à me toucher comme je peux. Je place deux doigts autour du bout de ma tumeur auquel je parviens difficilement à avoir accès puis commence mon travail de purge. J'ai exactement 10 secondes pour cracher mon pus. Le décompte avance. À 10 une nouvelle fois, ma tumeur obéissante et conditionnée se lâche. Certainement une des jouissances les plus ruinées que j'ai eu. Au moment de lacher ma petite mort, le gland gonfle et se comprime et envoie à ma cervelle un message de douleur incomparable.

Maîtresse Blanche ramasse mon foutre avec sa main gantée et me l'enfonce en pleine bouche avant de violer ma gorge de sa main.

Si Julia ne parvient pas à être une petite sissy exemplaire, au moins elle poursuivra ses entraînements de gorge profonde. Tout du moins c'est le maigre espoir que je caresse

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