Une découverte piquante et écarlate


J'aime les séances longues auprès de ma Maîtresse. Elles sont le plus souvent l'occasion d'affirmer encore davantage la simple relation de dominatrice/soumis dans des moments domestiques en respect d'une gynarchie bien établie.

Cette nouvelle journée est presque l'inauguration de la GNC2 me concernant.

J’ai appris depuis longtemps que si les lieux changent la domination physique et mentale qu'exerce ma Maîtresse reste la même. Dire oui à tout (ou presque), chercher à lui rendre service, rendre son quotidien plus facile et plus agréable, se transformer pour son unique plaisir et laisser au vestiaire les prétentions masculine sont une constante. Qu'elle se passe a l’Antre Blanche, à la Crypte Blanche, la première GNC  ou la seconde, je reste ce petit soumis qui une fois osa se réfugier dans les griffes de sa Maîtresse pour mieux recevoir sa marque, son éducation et je l'espère se hisser toujours plus à la hauteur de ses attentes.


Convoqué dans la matinée, je me présente, comme toujours à l’heure dite. Je pousse la porte, entre dans le vestiaire, me met à nu puis attends patiemment sa venue, en position traditionnelle d’esclave. Les minutes passent. La position commence à être douloureuse. Une douleur que j’accueille comme les prémices de cette longue journée qui m’attend, une douleur finalement interrompue par le bonheur d’entendre ses pas descendre les quelques marches qui nous séparent. Je m’approche de ses pieds pour les saluer comme il se doit puis la suit dans la chambre des bébés, et plus précisément sur la table à langer. Maîtresse Blanche talque ma tumeur, me passe une couche puis d’un sec « viens avec moi », m’emmène visiter les autres pièces. « Ce matin tu seras ma soubrette en couche, tu vas bien nettoyer toute la GNC pour accueillir comme il se doit Miss Scarlett qui arrivera cet après-midi. Tout doit être reluisant. Et pour te motiver à faire un travail efficace et rapide, tu porteras ce petit shock collar. ». En pressant sur une touche, une première impulsion vient me rappeler à quel point ce petit dispositif est redoutable et effectivement motivant. Je ne vais pas assez vite ? Une décharge électrique piquante vient me rappeler à l’ordre impérieux : faire vite et bien. Ce que je n’ai pas tant l’habitude de faire. Bien ? Oui, ça je sais faire, je suis toujours consciencieux lorsqu’il s’agit d’obéir aux ordres de Maîtresse Blanche. Vite, c’est autre chose. Il est donc tout à fait normal que je porte ce collier sur la cuisse, sinon, je n’aurais fini de nettoyer qu’en fin de journée. Merci Maîtresse de m’aider à apprendre la rapidité. Je me retrouve à exécuter devant elle des danses incontrôlables en passant le balai et la serpillère pour d’une part contenir cette douleur piquante et d’autre part pour faire ce qui est attendu de moi, vite et bien.


Après inspection de mon travail, vient le verdict : Récompense ou punition ? Je vous en laisse juge : Maîtresse Blanche retire ses bottes qu’elle porte depuis plusieurs heures pour m’accorder le droit de vénérer ses divins pieds, rendus odorants, enfermés dans des souliers bien hermétiques. Me concernant, c’est une vraie récompense, respirer l’odeur de ma Maîtresse et lécher ses pieds sera toujours une récompense. Je masse ses pieds, les nettoie copieusement de ma petite langue, pour mieux la satisfaire et la délasser. Après tout, c’est pour moi qu’elle a enfermé ses propres pieds dans ces bottes. C’est un honneur et je me dois d’être reconnaissant de cette récompense qui m’est offerte. Aussi mets-je toute mon ardeur et mon énergie dans la réalisation de ce massage tantôt manuel, tantôt buccal pour remercier ma Maîtresse.


L’heure tourne. Miss Scarlett va bientôt arriver. Maîtresse Blanche doit se préparer et m’envoie patienter dans sa nouvelle cage de laboratoire. Je passe la porte de la cage avec une petite appréhension, ne sachant combien de temps je vais rester ainsi isolé. Un nouvel entraînement commence. Celui de la patience. J’ai par le passé connu d’autres cages, plus confortables mais plus confinantes. Je ne saurais dire finalement celle que je préfère. Votre nouvelle cage Maîtresse est certes plus exigüe, elle est aérée, on y respire mieux et surtout, on peut observer ce qu’il se passe à l’extérieur. Bon, pour ainsi dire, dans le vestiaire, il ne se passe rien. Soudain, mon regard s’attarde sur les quelques objets laissés dans cette pièce. Des bottes en plastique et des gants de ménage, un élastator, un seau et de quoi nettoyer puis calmer les plus réticents des bestiaux, à savoir une canne électrique. Je prie pour ne pas en faire la connaissance trop rapidement, sans me faire trop d’illusion. Comme pour me rassurer, je regarde ses deux tabliers disposés face à moi, comme hypnotisé. Mon fétichisme de ce tablier noir et de ce tablier rouge est tel qu’il m’est difficile de ne pas les regarder. Je repense aux fois où j’ai eu le bonheur et la récompense d’être installé sur les genoux de ma Maîtresse, pour y recevoir ma fessée, et qui pour se protéger de la purulence de ma tumeur qui mouille constamment, portait un de ces tabliers. Je divague ainsi à espérer une nouvelle fois cette forme de punition.


Divagation vite interrompue par Maîtresse Blanche qui apparaît de nouveau dans le vestiaire. Elle n’est pas seule. Au travers de la cage, deux paires de yeux magnifiques et inquisiteurs me scrutent. Je me réfugie en boule au fond de ma cage, comprenant que mon traitement est sur le point de commencer. Cette cage, de laquelle, mon souhait le plus éminent était jusqu’à présent de sortir pour être auprès de ma Maîtresse, devient une sorte de refuge, une safe place dans laquelle, je me sens à l’abri d’éventuels sévices et notamment de celui auquel forcément j’étais destiné : la rencontre avec cette canne électrique. Mes deux tortionnaires appliquent tour à tour quelques impulsions pour mieux attendrir ma chair et me préparer à l’inévitable torture qui m’est réservée, dans la chambre d’hôpital de la GNC. Libérée de la cage, je lèche copieusement les pieds de Miss Scarlett pour la saluer puis je les suis au pied avant de bondir sur le lit d’hôpital auquel Maîtresse Blanche m’attache solidement. Je profite de ce petit moment de répit pour les observer attentivement. Toutes deux sont habillées tout de noir. Maîtresse Blanche passe une blouse blanche. Une fois de plus, je me régale de ce moment. J’aime ces contrastes forts entretenus par ma Maîtresse qui prouve une fois de plus toute l’élégance incomparable qui est la sienne. Elle personnifie à la perfection la doctoresse sadique lorsque sa blouse vient compléter une tenue « classique » de dominatrice. J’en viens à attendre et espérer qu’un jour je puisse avoir le bonheur de subir les traitements de Docteure Blanche en catsuit de vinyl et en blouse. Je suis presque sûr que mon orgasme serait immédiat, rien qu’à la regarder.


Mais d’orgasme, il n’est pas question dans l’immédiat, ou tout du moins pas sous cette forme. Maîtresse Blanche me présente une petite trousse que je n’avais pas vu depuis très longtemps et qui si elle me fait un peu peur m’avait tout de même profondément manqué : sa collection de sondes, ces petits bâtons qui visent à dilater et pénétrer les uretères de ses patients-esclaves. A peine les premières sensations ressenties, je retrouve le bonheur d’être ainsi visité. La partie la plus vulnérable de mon corps à la merci de deux femmes qui ne ménagent pas ma tumeur, alternant des pénétrations lentes et longues avec des petits acoups évocateurs. J’aime ce côté totalement renversant qui consiste à pénétrer et inverser la nature des choses sur un phallus. Au mélange de douleur, de gêne et d’inconfort se substitue très rapidement, une sensation de plaisir et d’envie. L’envie d’accueillir des sondes dans leur intégralité et de ressentir leur va et vients comme une forme de sissyfication intense qui pourrait m’emmener à l’orgasme. Miss Scarlett, studieuse et découvrant cette activité, ne me ménage pas et au vu de son sourire et son engouement prend un plaisir fort à visiter ma petite tumeur. Mon regard se plonge dans le sien, dans celui de Maîtresse Blanche. (enfin ! Essaye-je de signifier à ma Maîtresse tant cette torture et les sensations qu’elle offre m’avaient manquées). Mais avec une nouveauté cette fois-ci : l’application d’un wand vibrant sur ce petit morceau de métal, faisant tressaillir mon for intérieur. Une sensation encore plus forte de plénitude m’atteint mais se retrouve vite interrompue pour passer à des choses plus sérieuses. La dernière sonde est insérée au fond de mon anus et agitée pour la suite du protocole mis en place par les deux docteures.


Miss Scarlett, l’écarlate est venue pour une raison très précise. Outre la découverte des traitements médicaux qu’il convient de m’appliquer régulièrement, sa présence me fait découvrir une activité que je n’avais jamais jusqu’à présent entrevue. Sa fascination pour le sang n’a d’égale que l’aversion de ma Maîtresse. J’allais en faire l’amère expérience. Docteure Blanche me présente alors la suite du protocole mis en place : trouer la petite Julia. Sur chacun de mes doigts, elles appliquent consciencieusement un petit poinçon pour y apposer leur marque. A la manière d’une célèbre chanson, je les découvre ainsi contrôleuse de billets en multipliant des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous. Chaque doigt de mes mains ou des mes doigts y passe. Et chaque petit trou de céder sa place à de jolies bulles de sang gracieusement récupérées par la main gantée de Miss Scarlett qui me fait l’honneur de lécher mon propre sang pour nettoyer le champ médical mis en place. Presqu’une sorte de rituel, de sacrifice en l’honneur de mes divinités. Chaque doigt ayant ainsi été marqué, deux nouveaux poinçons viennent trouer mes petites mamelles et les orner d’un rouge écarlate. Je lâche quelques cris, qui pourtant ne seront rien en comparaison du protocole de libération mis en place.


Je suis chaste depuis le boudoir infernal. 10 jours d’abstinence forcée qui renforcent ma soumission. Maîtresse Blanche m’a promis une punition ayant osé demandé aux réseaux sociaux si je tiendrais cette chasteté imposée. Je ne pensais pas qu’elle prendrait la forme d’une libération piquante. Je serais autorisé à lâcher mon petit pus qu’à la seule condition de parvenir à me changer en Edward aux mains d’argent.


Pour bien commencer la mise en place de cette libération, Docteure Blanche insère plusieurs aiguilles pour embellir ma tumeur. Chaque insertion est une douleur vive mais éphémère. Comme d’habitude, il suffit d’insérer une nouvelle aiguille pour que la douleur associée à la précédente s’estompe. Une sorte de fuite en avant nécessaire pour calmer les palpitations de la petite Julia qui n’avait pas été autant trouée depuis longtemps. Mais, ce ne serait que normalité que de n’endurer que cette petite torture. Miss Scarlett, au sadisme décidément bien affirmé, suggère d’appliquer les mêmes aiguilles sur ma main, entre chaque doigt, déjà très endolori pour m’autoriser cette libération définitive. Je peux dire que si j’avais appris à compter chaque poinçon, ou chaque aiguille, là j’ai clairement appris à compter jusqu’à 5. La douleur cette fois-ci ne s’estompe pas et chaque aiguille vient renforcer la sensation très forte ressentie par ma petite patte.


« Qu’elle est mignonne comme ça, Julia. Allez maintenant, si tu veux te libérer, tu peux commencer à te branler. » Je commence à astiquer ma petite tumeur du bout des doigts mais tout n’est que douleur. Une douleur trop forte, trop intense qui à coup sûr ne me permettra pas de répondre à l’ordre donné.


Docteure Blanche, toujours attentive et bienveillante, accepte de me soustraire ces petits pieux, sans ménagement dans un geste ample et fort pour retirer chaque petit pieu venu lacérer ma peau, ma tumeur, à condition que ma libération soit instantanée.


Je suis libéré de mes attaches segufix et l’accompagne dans la baignoire pour une libération dorée de petite sissy. Alors que Maîtresse Blanche, m’offre une douche dorée réchauffante, elle m’enfonce en pleine bouche son pied et tout en secouant ma tête de sa jambe m’accorde 3 toutes petites secondes pour lâcher mon pus.


Le lavage de cerveau intense qui m’a été appliqué durant mon auscultation, m’aura miraculeusement permis d’obéir à ce court compte à rebours en répandant mon petit pus sur mon torse, finalement récupéré par le pied de ma Maîtresse que je m’empresse de lécher et nettoyer.


L’inauguration de la GNC prend fin pour moi sur cette superbe note. Je viens saluer mes deux tortionnaires de toute ma soumission, et repart avec un sourire béat, une reconnaissance forte et la tristesse de me retrouver une fois de plus éloigné de ma Maîtresse. Je suis fier d’avoir enduré le protocole médical de ma Maîtresse, heureux d’avoir fait la connaissance de Miss Scarlett et m’en retourne chastement à ma vie vanille en attendant ma future convocation à la GNC.

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