La dette gynarchique

 


Une lumière aveuglante vient me sortir du profond sommeil dans lequel je suis plongé. "Debout Julia". Les mots secs résonnent comme un ordre. Je parviens péniblement à me réveiller puis à m'extirper du lit d'hôpital sur lequel je viens de passer la nuit. Il est encore tôt mais mes nombreuses tâches vont commencer au service de ma Maitresse. En me levant je constate que ma couche a presque doublé de volume et que mes petites pattes sont toujours délicatement enveloppées pour éviter que je puisse durant la nuit venir me toucher comme la lubrique petite pisseuse que je suis devenue depuis que je suis entrée au service de Maîtresse Blanche.

Un claquement de doigt et j'accoure pour lui préparer un thé chaud que je lui présente humblement avant de la délasser en lui massant longuement les pieds.

Ma tumeur se raidit dans ma couche tant cela faisait longtemps que je n'avais pas été au contact de ses magnifique pieds. Maitesse le note et décide alors de me nourrir. Elle apporte ma petite écuelle qu'elle remplit outre d'une petite purée, de quelques filets de bave qui viennent liquéfier un peu plus mon repas que j'avale en deux temps trois mouvements, sauvagement tandis qu'elle se délecte de son assiette tout en rafinement. C'est le moment du dessert. Et comme souvent Maitresse Blanche opte pour me tendre une belle banane bien phallique et bien nourrissante. Avec interdiction de la mordre ! Elle plonge ce gros gode naturel au fond de ma bouche et applique de larges vas et viens. Je couine de plaisir comme une petite cochonne.

"Ça suffit Julia. Qu'est ce que c'est que cette tenue. Je te laisse dix secondes pour tout finir. " elle coupe alors la banane et enfonce l'intégralité dans ma bouche. Je ressemblerai presqu'a un hamster. Ma tumeur grossit d'autant plus. Surement le plaisir d'entendre les ordres secs et et le ton autoritaire de ma Maitresse. Surement aussi car j'aime être remplie par mes orifices.

Cette sensation semble cependant l'inquiéter. "Julia, je sais que tu es une petite chienne mais ça m'étonne que le simple fait que je mette des choses dans ta bouche puisse à ce point t'émoustiller. Va dans la chambre d'hôpital. On va examiner tout ça."

Je m'installe sur le lit puis patiente un peu inquiète de la suite des évènements. Nurse Blanche finit par entrer. "Alors qu'est ce qu'on a là. Une petite chienne qui veut tout lécher et tout sucer ? C'est bien étrange tout ça." Nurse Blanche enfile deux gants d'examen, retire ma couche, constate que ma tumeur veut s'enfuir de la cage de chasteté qu'elle m'a imposée la veille puis plonge un thermomètre dans mon anus pour une prise de température rectale. Quelques minutes passent. Je la regarde dans les yeux durant tout l'examen. Sa blouse bleue et ses lunettes accentuent davantage son autorité naturelle. Je suis tout intimidé.

Nurse retire le thermomètre. "Bon ce sujet semble vouloir tout avaler semble-t-il. On va vérifier à quel point" annonce-t-elle en fixant une sorte de dentier en plastique dans ma bouche, relié à un tuyau, lui-même relié à une poche suspendue à côté du lit, remplie d'un liquide jaunâtre et trouble. Nurse Blanche actionne un bouton et le fluide odorant vient me remplir. Je bois comme je peux pour obéir à l'ordre donné. Attaché au lit, je ne peux de toute façon rien faire d'autre que subir les test que Nurse Blanche me fait passer pour dresser son diagnostic.

Il ne me suffit que de quelques minutes pour tout boire sous la pression de ses doigts sur mes tétons.

Nurse Blanche me libère de mes entraves puis vérifie les conséquences de ses actes sur ma tumeur. Un toucher rectal? Elle se dresse. Un gode enfoncé tout au fond de ma gorge ? Elle se dresse encore plus. Un viol buccal ? Elle éructe. Nurse Blanche tente de reposer le gode mais je me prends à le demander comme un enfant à qui on a retiré sa tétine. Ce gode me donne un sentiment de confort et de plénitude.

"Décidément Julia. Tu deviens vraiment une bonne petite sissy avec le temps. C'est étrange cette envie de sucer tout ce qui passe. On va appliquer un traitement pour que tu embrasses cette condition mais débarassé de cette tumeur qui te gêne. Ça te permettra de bien rembourser ta dette gynarchique. Après tout ces traitements sans mutuelle, il va bien falloir que ton utilise tes petits trous pour effacer cette dette. Je ne vois pas d'autres moyens, petite cochonne".

Pour parfaire cette entreprise de sissyfication qui semble porter ses fruits, Nurse Blanche m'emmène subir une ultime thérapie visant à neutraliser toutes les dernières traces toxiques de ma masculinité. Elle a changé de blouse pour l'occasion. Une blouse blanche à col officier  Elle m'attache sur une chaise percée puis m'emmène malgré moi dans la salle d'opération. Là, une mallette posée sur la chaise gynécologique m'attend. Qui y a-t-il dedans ? Quelle opération va ainsi me libérer ?

Nurse enfile deux gants longs en latex puis les double de gants en vinyle puis sous mes yeux mi apeurés mi gourmands, ouvre cette petite mallette qui découvre un instrument de torture électrique.

Sans un mot, elle positionne méthodiquement chaque petite électrode. Deux sur mes cuisses. Deux autour de ma tumeur. Deux sur mes mamelles puis deux autour de ma tête. Je me sens comme dans vol au-dessus d'un nid de coucous prêt pour une thérapie lobotomisante qui fera de moi la petite sissy soubrette de ma Maîtresse. Celle que j'aspire à être depuis le commencement. Une première impulsion. Je me raidis. Nurse Blanche étalonne sa machine selon mes cris. Une fois la bonne tonalité trouvée, elle alterne les impulsions. Chaque cri que je pousse dessine sur son visage un nouveau sourire sadique, une expression de satisfaction. Je penche entre deux sensations : celle masochiste du plaisir d'être torturée et celle de voir la fin de cette thérapie couronnée de succès pour enfin être cette petite sissy au service de ma Maîtresse et qui ne pense qu'à son bien être.

Maîtresse Blanche dans sa grande bonté s'approche alors de moi, scotche mes deux yeux afin de me permettre de vivre pleinement ma dernière libération qu'elle m'accorde en appliquant un magic wand sur ma tumeur et en m'autorisant à lui sucer son doigt et sa main gantée.

Mon dernier petit pus libéré sans réelle jouissance, avec une douleur certaine comme pour bien marquer que plus jamais je ne pourrais éprouver les plaisirs masculins toxiques et inutiles pour une petite sissy que j'aspire à être pleinement. Et comme preuve d'une réussite, mes ongles sous l'effet de cette excitation se sont parés naturellement d'un joli vernis rouge qui, je trouve, me va très bien.

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