Piquant dépucelage
Une surprise cela veut tout et rien dire à la fois. Cela peut être positif, négatif ou simplement surprenant. Bref, à la lecture de ces mots, je m’imagine mille choses mais certainement pas ce que me réserve Maîtresse Blanche.
Sitôt arrivé à la GNC, je suis solidement attachée au lit d’hôpital. Nurse Blanche, à la blouse impeccable comme d’habitude, est tout sourire. On sent que cette fameuse surprise la met en joie. Pour garder cet effet et me laisser dans le flou, elle me recouvre d’un drap le temps de tout préparer. J’écoute au maximum son rituel de préparation pour tenter de comprendre ce qui m’est réservé. Mais c’est peine perdue, et je ne suis pas plus avancée lorsqu’une fois le champ préparatoire installé, Elle retire le drap et me rend à nouveau la vue. Après m’être plongé dans son regard gourmand, je tourne la tête pour voir ce qu’elle a disposé à côté de moi : des aiguilles. Des dizaines de petites aiguilles de tailles et de couleur différentes. Gloups, ma tumeur qui était dans un état de surexcitation à l’idée d’avoir une surprise, se fait immédiatement toute petite. Je ne m’y attendais pas. Certes, j’avais déjà enduré la suture de ma tumeur, mais je ne savais pas si j’étais prête à de nouveau me faire percer la peau. Mais voyant l’engouement de ma Maîtresse, je ne peux pas l’empêcher de poursuivre ce qu’elle a prévu. Du reste, si cela peut paraître effrayant de prime abord, ce n’est qu’en essayant que l’on peut comprendre les sensations que procurent les aiguilles. Je me remémore de nombreux moments où la souffrance fut intense, je souffle un grand coup puis accepte d’être le cobaye de ma Maîtresse, qui sent que je ne partage pas forcément sa joie et, comme pour me rassurer, me montre tous ses nouveaux jouets et leur utilité.
Puis joignant les actes à la parole, elle me pince la peau à côté d’une de mes mamelles puis y glisse calmement une première aiguille. Je laisse échapper une petite plainte, puis souffle. La douleur a déjà disparu. Quelques secondes suffisent.
Une seconde aiguille, d’une autre couleur, d’un autre diamètre vient orner mes petits testicules. L’effet est invariablement le même. La douleur, fine et piquante, s’estompe très rapidement. Je comprends que pour pouvoir devenir une œuvre d’art pour ma Maîtresse, il me faudra de l’endurance, lors d’une prochaine séance.
Ce qui était une limite a priori et que je n’avais pas encore le courage d’affronter n’en est plus une. Ma Maîtresse me rappelle que je peux à tout moment poser mon safeword si cela ne va pas. Mais je constate que je peux endurer cette activité, quand bien même son effet sur ma tumeur est radical. A la plus grande joie de ma Maîtresse qui sait dorénavant ce qui doit être fait sur sa petite Julia pour lui poser une cage de chasteté…
Quelques aiguilles plus tard, j’ai la mauvaise idée de suggérer d’ajouter un châtiment électrique sur ces aiguilles. « mauvaise idée », je ne sais pas d’ailleurs si c’est le bon terme. J’ai simplement envie de comprendre la sensation que cela peut procurer. Maitresse Blanche branche un petit boitier et deux électrodes sur une aiguille plantée dans mon bras. La douleur est forte, intense et rapidement insupportable.
Maitresse Blanche retire mes aiguilles, appose de jolis petits pansements enfantins puis me passe une couche ainsi qu’une ridicule petite culotte à tête de chien avant de se retirer pour se changer, me laissant ainsi dans ma réflexion quant à ce que je viens d’endurer.
Elle revient, portant un beau peignoir de soie, pour prendre soin de son petit. En fait le punir pour ne pas avoir été enjoué pendant cette première partie. A quatre pattes sur le lit, je me prépare à recevoir la fessée.
Les claques pleuvent sur l’arrière de mes cuisses. J’entre dans une forme de subspace. Chaque coup est un plaisir, une excitation. Je tortille du popotin pour montrer à ma Maitresse à quel point cette humiliante fessée dévoile mon côté masochiste. La punition est longue et je me surprends à avoir envie qu’elle se poursuive indéfiniment. J’ai juste peur qu’à force Maitresse Blanche finisse par se faire mal à la main et qu’elle passe à des ustensiles plus lourds.
Mais telle n’est pas la suite qui m’est réservée. Maîtresse Blanche s’éclipse de nouveau pour se changer et changer d’ambiance.
Après de longues minutes où je suis laissée seule (avec un biberon rempli de son nectar), Elle revient toute de noir vêtue : corset de cuir et longue cuissarde vernie. La première fois que je voyais ces cuissardes. Autant vous dire que j’attendais depuis longtemps de pouvoir m’en approcher. Maîtresse Blanche est sublime. Je suis dans une forme telle excitation. Je me contiens mais je n’ai qu’une seule envie, me ruer sur elle pour lécher, lécher et lécher ses bottes. J’attends, à quatre pattes par terre, la tête contre le sol. J’attends l’autorisation, l’ordre, sagement. Peut être qu’il ne viendra jamais et que Maîtresse Blanche, sadiquement me laissera ainsi espérer sans jamais matérialiser ce fantasme ? Fort heureusement pour moi, un claquement de doigts et le mot tant attendu finissent par arriver : « Lèche ».
Je viens délicatement poser ma langue sur ses bottes, pour profiter pleinement de ce moment. Puis, j’entreprends de nettoyer l’intégralité de ses bottes. Je vénère ma Maîtresse pour faire honneur à cette récompense qui m’est offerte. Au fur et à mesure que je lèche, j’entre dans une forme de transe. Je fais l’amour à ses pieds pendant que Maîtresse Blanche enfile un gode ceinture pour, peut être, donner une autre récompense à sa petite chienne si elle s’applique bien pour honorer sa Maîtresse.
Je suis si excitée. Je ne sais même plus ce que je préfère : poursuivre mon activité de lécheuse ou être pris par ma Maîtresse. Mais cela n’est pas important. Je sais juste que dès qu’un nouvel ordre sera donné, j’obéirai spontanément.
Pour clore donc ce moment, Maîtresse Blanche se relève, me plaque contre le lit d’hôpital puis vient dilater mon anus, tout fermé, un peu réticent et quelque peu échaudé.
Elle entre son gode dans mon anus, s’en retire puis après quelques courts instants, claque de nouveau des doigts. « Tu vas maintenant te frotter petite chienne, sans tes pattes ».
A genoux face à ma Maitresse, je me frotte contre ses cuissardes. Je m’excite comme un petit chien, comme le petit carlin que je suis. J’espère réussir à obtenir la libération généreusement accordée par ma Maîtresse.
J’alterne les positions pour trouver celle qui me fera répandre mon petit pus sur ses jambes que je viendrai lécher par la suite. Je finis par trouver celle qui m’emmène à la jouissance, en compressant mes testicules contre la pointe de son pied, procurant à la fois une excitation et une douleur. Ma tumeur finit par se vider sous l’oeil satisfait de ma Maîtresse. Julia nettoie alors tout son foutre comme une bonne petite chienne, la gentille petite chienne à sa Maîtresse.
Commentaires
Enregistrer un commentaire