L'extase du fétichiste

C’est un bonheur d’une intensité incommensurable pour le fétichiste que je suis que de regarder sa Maîtresse se préparer. Non pas en anticipation de la séance à venir mais tout simplement en admiration de la beauté de Maîtresse Blanche. Un bonheur simple. Maîtresse Blanche claque des doigts. J’accoure à ses pieds. Elle me tend sa culotte de la veille. Je la saisis et plonge immédiatement ma tête dedans pour humer les quelques odeurs résiduelles dont elle est imprégnée. A genoux, tandis qu’elle s’apprête pour la suite des événements, j’entre très rapidement dans le vif de ma soumission innée. Par la force des choses, mes visites à la GNC, si elles restent régulières, sont moins fréquentes mais ce n’est pas une absence qui pourrait mettre à mal toute l’éducation que je reçois de ma Maîtresse. Et c’est à la fois spontanément et par réflexe que je me retrouve à vénérer un de ses bouts de tissus intimes. Peut être agacée de ma présence ou tout du moins de son inutilité, elle m’envoie faire la vaisselle. Je reste à quatre pattes, sa culotte dans la bouche puis comme une petite chienne court pour répondre à cet ordre soudain. J’opte finalement pour mettre sa culotte sur ma tête. Elle me permettra de la respirer toute la journée et de garder un certain anonymat si quelques photos venaient à être prises. Puis, je suis envoyée dans la chambre d’hôpital pour à mon tour me préparer. Car pour cette fois je ne serai pas totalement nu comme un ver. Enfin pas toute la journée, car Maîtresse Blanche a décidé de m’équiper spécialement pour ce jour. A commencer par m’imposer une forte régression. Allongé sur le lit, je l’attends, en observant tous les ustensiles sortis ou non pour tenter de savoir ce qui va arriver. Elle entre à son tour, fin prête. Elle porte une belle blouse blanche d’infirmière, une coiffe impeccable puis me présente une cage de chasteté, une couche et un body de tout petit. Un joli body avec des licornes dessus, parfaitement à ma taille. Elle commence par refermer la cage de chasteté sur ma tumeur. Une jolie cage de chasteté grillagée en forme de petit serpent qui mord immédiatement ma tumeur pour l’empêcher de gonfler. Une fois cette forme récalcitrante maîtrisée, Maîtresse Blanche m’enveloppe d’une grande couche ainsi que de ce fameux body. Puis la touche finale, un bavoir. Un peu petit mais finalement adapté à ma morphologie. « Aujourd’hui Julia, tu ne te tiendras jamais debout. Tu ne te déplaceras qu’à quatre pattes comme la petite chienne que j’ai fait de toi. Mais comme je suis gentille, tu vas porter ces genouillères. » J’enfile ces deux protections puis au claquement de doigts, descend du lit pour me retrouver à quatre pattes. Je garde ma tête à proximité de ses jambes et attends. « C’est bien. Allez suis moi », dit-elle après avoir posé la touche finale de ma transformation en me passant mon collier de servitude. Je fais quelques pas. Ravi de constater les effets bénéfiques de la genouillère, j’accélère. J’ai l’impression que je pourrais courir à quatre pattes toute la journée dans la GNC. J’en souris. « Reste là Julia ». Je vais encore me préparer. J’attends à l’entrée de la salle d’examen. Maîtresse Blanche, ou plutôt, Doctoresse Blanche apporte la touche finale avant de passer aux opérations du jour. Elle passe une surblouse chirurgicale verte, enfile deux gants stériles, puis me montre du doigt, sans un mot, la chaise gynécologique. Installée, attachée, ficelée, mais confiante, je la regarde déboutonner mon body puis retirer ma couche. La sensation de régression est entière. Il ne manque qu'une tétine pour compléter le tableau. La suite est évidente. Doctoresse Blanche veut venir vérifier que mon anus est toujours disponible, et qu’elle peut toujours comme elle le souhaite venir y glisser ce qu'elle a envie. Copieusement arrosée de lubrifiant, je sens ses doigts venir dilater mon intimité, lentement mais sûrement. Chaque nouvelle insertion, douloureuse dans un premier temps, agrandit mon petit trou pour lui permettre de passer aux choses sérieuses. « on va être très ambitieux aujourd'hui Julia. Finalement, à force de te pénétrer, j’ai vraiment l’impression qu’un jour je finirai par te fister. Ça te fera plaisir n’est ce pas, quand enfin tu accueilleras la main entière de ta Maîtresse ? » J’aboie immédiatement. « Oh, c’est presque un cri du cœur ça ! » dit-elle en rigolant. « Gourmande va ! ». Je couine de plaisir et d’envie. Même si de récents déboires ont matérialisé une certaine inquiétude à ce sujet. Mais je comprends que Maîtresse Blanche cherche simplement à lever ces doutes et à me rassurer dans ma condition de petit soumis. De petites tapes sur mes joues en récompense me font immédiatement rougir. J’aime être prise par ma Maîtresse, c’est une fait mais j’aime aussi lorsqu’elle me récompense et lorsque ma soumission correspond à ses attentes. Elle se retire puis me présente la suite du menu : un gode énorme. Vais-je réussir à lui faire de la place ? Je suis loin d’en être certaine. En plus je le connais ce gode. Il est déjà venu rendre visite à mon orifice buccal et le moins que l’on puisse dire à son sujet, c’est qu’il est très, très envahissant… Maîtresse Blanche progressivement fait entrer ce monstre dans mon intérieur. Ça tire, je sens qu’il a vraiment envie de violer mon intimité, brutalement mais sûrement. Quelques minutes plus tard, je suis secouée comme un prunier par les acoups secs et réguliers de ma Maitresse. « Dis Julia, on dirait que tu l’aimes celui-là? » Ma respiration m’a trahi, mes petits couinements aussi. Ils auront au moins eu le mérite d’atténuer la frustration de ma Maîtresse qui (je l’ai compris) aurait aimé attacher ce gode à sa ceinture pour me prendre pleinement et violer sa petite Julia par plaisir. Maîtresse Blanche se retire, referme de nouveau la couche, puis me renvoie dans la chambre d’hôpital après avoir nettoyé les cochonneries que j’ai laissées partout dans la salle d’examen. (j’ai tenté de vous expliquer un petit truc et astuce concernant la couche. J’en ai fait l’expérience à titre personnel : lorsque vous refermez la couche, il faut bien orienter le zizi vers le bas, sinon ça fuit…) L’heure du repas approche. Maîtresse Blanche se prépare une belle assiette puis me tend un bol de tout petit. La même salade mais agrémentée de plusieurs filets de bave généreusement déposés. Je finis mon assiette en deux temps trois mouvements, affamé que je suis, puis clos ce bon repas par une grosse pinte de… l’urine de ma Maîtresse. Je sens immédiatement ma vessie gonfler. Mais je me retiens. Maîtresse Blanche m’envoie tout nettoyer, la chambre et la cuisine, tandis qu’elle se repose dans le lit d’hôpital. Je profite de ce moment pour soulager ma vessie et souiller ma couche avant de revenir à ses pieds accompagner sa sieste. Le repos des braves ? Le repos des chiennes plutôt. En boule comme un petit chat. J’en ronronnerais presque. Après ce moment de promiscuité canine, Maîtresse Blanche se lève. Puis part se changer. Je la rejoins à quatre pattes. Je commence à sentir ma position. Mes genoux sont douloureux, malgré les genouillères, je ne fanfaronne plus du tout comme au début. Heureusement, la douleur est vite anesthésiée par la vue que m’offre ma Maîtresse. Tout de cuir vêtue, je la regarde lacer ses bottes vernies, attacher un tablier de latex blanc, des longs gants ainsi qu’un masque noir. Ne serait-ce que l’admirer et contempler ce moment, suffit presque à me donner un orgasme. « Allonge toi par terre ». Les mots claquent. Je comprends tout de suite que ce n’est plus une nanny attentionnée que j’ai face à moi mais bien une tortionnaire prête à obtenir des résultats par la force. Le moment est énergique. Je reçois une pluie de gifles puis de coups sur ma tumeur et mes petits testicules. La douleur vive et intense remonte jusque dans le bas du ventre. « Le patient n’est toujours pas réanimé par ce traitement, nous allons lui apporter de l’air. » dit-elle en enfonçant un respirateur sur mon visage et en m’étouffant par apport forcé d’oxygène. Après plusieurs pressions, énergiques et brutales, mon corps semble revivifié. Maîtresse Blanche satisfaite ouvre alors ma couche et constate que le vilain petit dont elle a la charge a souillé sa protection et décide de le punir immédiatement. De sa botte, Elle presse ma tête au fond de la couche. Je tente de résister mais c’est peine perdue et je me retrouve à respirer ma propre pisse odorante et jaunâtre. C’est ce moment humiliant que Maître Blanche choisit pour être le théâtre de ma libération. Ne me laissant que 4 secondes pour arriver à jouissance. 4 secondes, c’est peu mais l’éducation qu’elle daigne m’apporter depuis le début m’a façonnée. Je m’astique en la regardant et au décompte parvient à lâcher mon petit pus dans une écuelle que je m’empresse de nettoyer en léchant goulument ma salissure. Si le plan de Maîtresse Blanche était de faire de moi une petite chienne chaste mais éjaculatrice précoce, on peut aujourd’hui dire qu’elle a réussi. Mais elle a surtout réussi à faire de moi un petit soumis, qui obéira au moindre de ses ordres, tentera de temps à autre de les devancer et qui mettra toujours toute son énergie à son seul et unique profit. Appartenir à Maîtresse Blanche n’est pas anodin mais c’est très clairement une des choses que je chéris le plus. Et encore davantage, lorsqu’après cette libération, je me retrouve à lécher ses bottes durant un temps infini puis à patienter en attendant l’ordre prochain, ou simplement qu’elle me congédie. Cela fait partie de mon éducation que de ne penser à rien sauf à Elle et à son plaisir. Me définissant comme quelqu’un de studieux et me considérant, malgré les années, comme toujours en apprentissage, je ne peux que lui obéir sur ce point pour correspondre en tout point à ce qu’elle recherche, une petite Julia docile et soumise.

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