Petite sissy deviendra grande


D'ordinaire lorsqu'on retourne au cabinet médical, c'est pour des raisons relativement simples. Et si lors de votre précédente consultation, vous vous étiez faite plâtrée, le rendez-vous suivant consiste à libérer le patient de ses entraves... je dis bien d'ordinaire car la Gynarchic Nurse Clinic n'est pas un lieu ordinaire. C'est un lieu chargé d'énergie positive que Maîtresse Blanche draîne de ses soumis pour nourrir son sadisme, ses envies et sa maîtrise du fétichisme médical dans lequel elle excelle tout particulièrement.

 

Lorsqu'elle enfile sa blouse blanche et vous emmène au coeur de son cabinet, vous avez déjà abandonné toute volonté et toute autonomie. Vous n'êtes plus que le sujet de torture et d'expérimentations d'une femme qui se plaît à rechercher à reproduire de la manière la plus réaliste qu'il soit les pratiques médicales d'hier et d'aujourd'hui tout en leur apportant une touche artistique et esthétique.

 

Profondément nettoyée par Maîtresse Blanche, je m'allonge sur le lit médical préalablement plastifié tout en la regardant nouer un tablier blanc qui viendra protéger sa belle blouse des saletés occasionnées par les traitements du jour. Douce sensation. Le plastique a ce côté infantilisant très fort et il ne me laisse pas insensible. C'est comme une alèse pour protéger le lit lorsque les petits viennent à faire pipi au lit. Le tablier, lui, évoque chez moi le côté autoritaire et maternel d'une femme. Je sens mes yeux s'humidifier d'émotion tandis que je la contemple et l'admire.

"Julia, j'ai pu voir les vertus du plâtre sur ta tumeur devenue ridiculement petite lors de notre dernier rendez-vous. On va confirmer que ce protocole t'emmène sur le bon chemin et faire de toi ma fidèle petite cumslut.", me dit Maîtresse Blanche d'un ton solennel tout en m'enfilant une couche. Le plâtrage est une activité longue et quand bien même la chambre médicale a été protégée, il serait malvenue de vider ma vessie sans protection ni autorisation.

Joignant les actes aux paroles, Nurse Blanche talque la petite tumeur puis l'enferme dans une petite couche avant de commencer les travaux de gros oeuvre.

Mais cette fois-ci est un peu différente car l'objectif est d'immobiliser le plus possible Julia tout en en faisant une petite sissy. Maîtresse Blanche, rarement en panne d'innovation, a décidé de lui mouler un porte jarretelle autour des hanches tout en laissant la tumeur disponible en cas de nécessaires punitions mais également et surtout ses petites fesses pour les faire rougir avant une fouille mécanique et profonde.

Je suis toute émoustillée à l'idée de devenir ainsi une petite sissy, plâtrée et abusée, l'univers médical et la féminisation faisant clairement figure de têtes d'affiches parmi mes nombreux kinks. Comme souvent une petite chanson se met à trotter dans ma tête en entendant ma Maîtresse parler de calcification et de sissification. Une chanson qu'on pourrait réinterpréter en Supercalcifisissyfication. Mot imprononçable et pourtant chantonné avec entrain par une célèbre Nurse qui a toujours été une dominatrice dans mon imaginaire fait de blouses, de tabliers, d'uniformes et d'infantilisation. Je regarde Nurse Blanche comme je regardais Mary Poppins en étant jeune. Je vois une nounou juste mais sévère, un peu magicienne, à qui obéir est la seule option si l'on veut bien grandir.

Pour me ramener à un état de jouet Maîtresse Blanche m'attache un petit dispositif électrique au bout du pied pour envoyer de petites impulsions plus ou moins fortes, tour à tour inconfortables ou douloureuses selon l'intensité. Ce dispositif aurait normalement dû accompagner ma tumeur dans la couche mais ayant déconcentré Maîtresse Blanche au moment de la mise en couche, je me suis vu épargnée de cette idée...

Le travail de sculpture de sissy Julia prend fin. Elle est désormais prête pour son entraînement du jour. Nurse Blanche m'ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit puis approche derrière moi la grosse fucking machine qui va venir visiter mon intérieur de manière déshumanisante.

Maîtresse enfonce le gros gode relié à la machine et actionne le dispositif. Le rythme est lent. Je sens l'épaisseur du gode venir compresser mon intérieur puis ressortir puis rerentrer. La résistance de mon corps plie face à la volonté implacable de Maîtresse Blanche qui accélère progressivement la cadence jusqu'à arriver à des vas et vients rapides qui me procurent une jouissance cérébrale incomparable. Je couine de bonheur. Et pourtant tout s'interrompt brutalement. Je laisse aller un râle. Celui d'une jouissance espérée et ressentie. Celui d'une vraie jouissance de petite sissy prise par la machine de sa Maîtresse qui pendant ce temps avait les mains libres pour me torturer les tétons, les agrandir et les sensibiliser.

Maîtresse me tend une pince. Charge à Julia de se libérer de son plâtre. Charge à Julia de le faire vite si elle veut pouvoir lécher les pieds de sa Maîtresse.

Je ne sais pas si je suis efficace mais le monde pourrait s'écrouler autour de mois tellement je suis concentrée à ouvrir mes cataplasmes, mon corset et mon porte jarretelle le plus vite possible.

Après de longues minutes je suis enfin libre, libre de témoigner ma reconnaissance et ma soumission à Maîtresse Blanche, libre de masser ses pieds avec ma langue, libre de prendre le plus grand soin de chacun de ses jolis doigts de pieds, libre de pouvoir profiter du seul contact charnel qui m'est autorisé.

L'heure tourne malheureusement et il est temps de partir, à reculons car je préférerai rester dans la GNC, dans un coin ou dans un cage prête à servir, à reculons car je n'aime pas tourner le dos à ma Maîtresse.

À reculons mais au risque de se blesser en descendant les escaliers, ce qui m'obligerait à revenir me plaire plâtrer…

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